Ibidem. Les Voix du Dies Romanicus Turicensis 2013

SEPTEMBER 2013 Ibidem Das Blatt der Romanistik-Doktorierenden Der akademische Nachwuchs berichtet zu aktuellen Veranstaltungen Les Voix du Dies Ro

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Das Blatt der Romanistik-Doktorierenden

Der akademische Nachwuchs berichtet zu aktuellen Veranstaltungen

Les Voix du Dies Romanicus Turicensis 2013 Les 21 et 22 juin a eu lieu à l’université de Zurich le septième Dies Romanicus Turicensis, colloque consacré aux jeunes chercheurs en langues et littératures romanes, venus du monde entier pour partager leur passion et leur intérêt pour le sujet proposé cette année : voix et silence. Par Julie Dekens Multiculturalité, transdisciplinarité et multilinguisme : la conférence s’est déroulée dans un esprit d’échanges et de convivialité, entre chercheurs en littérature et chercheurs en linguistique, de tous horizons, comme le veut la tradition du Dies. Cet événement s’inscrivait dans une étroite collaboration avec l’école d’été (du 17 au 20 juin 2013) du programme doctoral du Romanisches Seminar, Méthodes et perspectives, et qui partageait le même intitulé. Voix et silence est un sujet qui intéresse particulièrement la recherche actuelle : il n’y a qu’à regarder les projets scientifiques paraissant sur le site fabula.org, ou encore les récentes parutions. S’inscrivant dans les problématiques des études de littérature et de linguistique, il s’agissait là d’entrer dans le monde de la parole et de l’absence de parole, du son qui signifie et du mutisme qui communique tout autant d’informations. Ce duo semble riche en possibilités interprétatives.

Daphné de Bernini

La langue n’est pas seulement faite de mots prononcés ou bien tracés sur le papier : la voix du silence, comme la gestuelle ou encore la langue des signes, a bien des choses à nous dire. De même, en littérature, voix et silence s’intéressent au non-dit, à l’indicible, à la polyphonie, entre ceux qui disent et ceux qui (se) taisent, avec toutes les nuances, du cri à l’aphonie. Ces contrastes et ces interrogations fondèrent ainsi le travail d’une année, de la part des membres du comité d’organisation – composé (dans l’ordre alphabétique) de Cristina Albizu, Julie Dekens, Mario A. Della Costanza, Cyril Dubois, Bénédicte Elie, Valeria Frei, Maria Chiara Janner, Charlotte Meisner, Gina Maria Schneider et Michael Schwarzenbach.

Le silence et la voix Tout d’abord, les deux concepts semblent s’opposer : le silence et la voix paraissent n’être que l’envers de l’un et de l’autre. Pourtant, alors qu’ils sont mis en relation, leur proximité phonique et signifiante se révèle. La voix, c’est un corps, celui des mots, de la phrase et du texte, dans son oralité comme dans sa matérialité muette : l’écriture. Le silence, lui, est partout, il interroge les limites de la parole, posant, au-delà du son, le verso de l’objet livre. Le silence n’est pas un manque ou encore une absence, comme voudraient le faire croire certains dictionnaires : c’est un sens. En linguistique, sa présence peut revêtir une dimension rhétorique ou révéler un discours autre.

Un projet transdisciplinaire Après une difficile sélection, à partir d’une centaine de propositions de communication qui arrivèrent jusqu’à Zurich, le comité retint une quinzaine d’exposés, qu’il fallut regrouper selon leurs affinités. En effet, il est dans la tradition du Dies Romanicus Turicensis de ne pas organiser de journée ou encore 1

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cambio fonético actual en el español de Sevilla y de Granada ». Nous continuâmes ensuite avec des communications s’interrogeant sur le dénombrement du silence. Tanja Schwan proposa une étude du rien, « Entre ne rien dire et ne dire que des riens : les poétiques de Flaubert, Manzoni et Clarin », et Lisa Cadamuro nous proposa une communication intitulée « Punteggiatura del silenzio in Fortezza di Giovanni Giudici ». La journée se clôtura avec l’exposé de Mariana Moraes Medina, « ‘Lo que el silencio nombra’: poesía y mística en la obra de Hugo Mujica ». Ne rien dire et ne dire que des riens

Le Dies a permis l’échange des idées.

La seconde journée s’ouvrit autour de la difficulté à se faire entendre, avec l’exposé de Claudia Cathomas, Nicola Ferretti et Anne-Danièle Gazin : « Formes de polyphonie dans les SMS écrits en Suisse italophone et romanchophone ». La matinée se poursuivit avec une autre communication en linguistique, de Gabriela Soare : « Le rôle des éléments nuls à l’intérieur de quelques syntagmes nominaux et leur effet sur l’accord sujet-verbe en français et roumain ». Marion Coste nous proposa ensuite un excellent exposé sur « Pascal Quignard. Entre refus du langage et l’impossibilité de se taire, le silence musical ». La matinée se referma enfin sur la question de la voix silencieuse, avec une communication d’Erika Raniolo et Sabina Fontana, « Interazioni tra oralita e unita segniche : uno studio sulle labializzazioni nella Lingua dei Segni Italiana (LIS) », et de Valentina Bianchi : « Sintassi di gesto e parola: note sull’ eloquio afasico ». La conférence fut un succès, tant quant à la qualité des intervenants qu’à la présence d’un public nombreux. Les échanges, lors des sessions, mais aussi lors des pauses ou même du dîner du vendredi, révélèrent tout l’intérêt que recèle l’organisation d’un événement tel que celui-ci. Reste encore les actes du colloque à venir, avant de se taire tout à fait, pour de bon, cette fois.

de matinée consacrée à une langue ou bien à une discipline : les projets se mêlent, comme les idées et les regards. La littérature parle à la linguistique, l’italien au français, le tout dans une incroyable mixité intellectuelle. La première session du vendredi fut ainsi consacrée à la transmission d’une voix, avec l’exposé de Sibilla Destefani sur « L’Orrore indicibile » dans Il Fumo di Birkenau de Liana Millu, puis celui de Patricia Riosalido Villar, « La Historia acallada y los ‘ruidos’ en: Autobiografía del general Franco de Manuel Vázquez Montalbán », et enfin celui de Francesca Galli, « Silenzio, ‘voce di bocca’ e ‘voce di cuore’ di Giordano da Pisa e Bernardino da Siena ». Voix et identité La deuxième session s’intéressa quant à elle aux mots des choses et au sujet du discours, avec Sandra Carrasco – « Voz y silencio en la obra de Manuel Rivas » –, Julien Marsot, « La Voix et le Silence : l’envers et l’endroit du Verbe fin-de-siècle », et Julia Brühne avec « Portavoz del consumo : la voix acousmatique en Mujeres al borde de un ataque de nervios de Pedro Almodóvar (1988) ». Un exposé en anglais fut proposé cette année après la pause déjeuner du vendredi, par le professeur Volker Dellwo : « What does voice and silence tell us about speaker identity? ». Cette présentation dans le domaine de la phonétique accueillit un franc succès de la part d’un public nombreux et enthousiaste. Elle fut suivie d’un regroupement passionnant autour de la question de l’identité, mais aussi de son rapport à la voix, avec la communication d’Hanna Ruch, « Voz, aspiración, silencio: percepción de un

Lectrice et doctorante du programme doctoral de l’université de Zurich, Julie Dekens travaille actuellement à une thèse de littérature comparée sur la figure d’Orphée dans la création poétique moderne et contemporaine de langue allemande, française et suédoise, sous les directions des professeurs Patrick Labarthe (Zurich) et JeanYves Masson (Paris IV-La Sorbonne). 2

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Sommerschule: Stimmen und Stille In Zusammenarbeit mit dem Dies Romanicus Turicensis veranstaltete das Doktoratsprogramm Romanistik vom 17. bis 20. Juni 2013 eine Sommerschule, welche die vielfältigen und komplexen Wechselwirkungen zwischen Stimmen und Stille zum Thema hatte.

thematischem Bezug auf das Rahmenthema sowie zu interdisziplinärem Aus­tausch in einem sprachund kulturübergreifenden akademischen Umfeld. Es wurden Vorträge, Lektüreseminare, Übungen und Workshops in den romanistischen Sprach- und Literaturwissenschaften (Französisch, Spanisch, Italienisch) angeboten. Stephan Schmid (unten links) von der UZH widmete seinen Workshop den Begriffen der Stimmqualität und Pausen in der Phonetik anhand von Hörbeispielen.

Teilnehmende eines Workshops

Die Wechselwirkungen zwischen Stimmen und Stille sind vielfältig und komplex; so zeichnet sich die Qualität der Stimme vor dem Hintergrund einer (relativen) Stille ab, und diese wiederum kann nicht einfach als Abwesenheit der Stimme definiert werden, sondern gewinnt ihre Bedeutung aus der Verbindung zu ihr. Diese Beziehung ist sowohl sprach- als auch literaturwissenschaftlich relevant. Die Sommerschule bot Doktorierenden und anderen Nachwuchsforschenden der Romanistik die Möglichkeit zu einer vertieften wissenschaftlichen Auseinandersetzung mit

Elwys De Stefani (oben, Zweiter von rechts) von der Universität Löwen betrachtete mit den Doktorierenden Stimmen und Stille in der Konversationsanalyse und der interaktionellen Linguistik. Elisa Tonani (oben rechts) von der Universität Genua führte die Doktoranden in die grafisch-visuelle Darstellung von Stimmen und Stille in der italienischen Literatur ein.

Raúl Dorra (links) von der Universität Puebla diskutierte mit den Doktoranden über das Spiel zwischen Stimmen und Stille in der Poesie. Ursula Bähler (rechts) von der UZH widmete ihren Workshop zwei literarischen Werken, denen es gelingt, das Schweigen über den Algerienkrieg zu brechen. 3

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Más allá de la memoria: Arquitecturas afectivas en América Latina Un simposio internacional dedicado a la reflexión sobre los lugares, las políticas y las culturas del duelo en América Latina fue realizado en la ciudad de Zúrich entre el 6 y 8 de junio 2013. El evento reunió especialistas de diversas universidades de Chile, Argentina, Brasil, Estados Unidos, Inglaterra, Alemania y Suiza.

Parque de la Memoria de Buenos Aires

conmemorar en México dieron pie a rehumanizar el discurso de la memoria de las víctimas de la Guerra Sucia entre las décadas de los 60 y 70’s, explicó Sylvia Karl, de la Universidad de Marburg. En el caso de Ruanda, Anna-Maria Brandstetter analizó cómo los « leitmotivs » del Holocausto son transculturados y tomados como modelo en la memorización de las víctimas del genocidio ocurrido entre los Hutus y Tutsis de la etnia Banyaruanda. Hablar de víctimas y victimarios ha sido siempre un problema ontológico y lo es más cuando la materialización de un lugar como espacio de memoria, junta a estos dos actores. Las ponencias en su segundo día del Simposio pusieron en relieve la polémica generacional que existe entre los familiares de ambas partes. Sobre el conflicto armado interno peruano y su posterior desencuentro de dos o más interpretaciones de la población y los internautas a raíz del monumento « El ojo que llora », Paulo Drinot expuso cómo existe un espacio de memoria complejo y nuevo en internet, como youtube y otras plataformas; es así que el megamedio es un nuevo objeto de análisis y discusión, visualiza el profesor del University College de Londres.

Por Luis Eduardo Pérez Peralta El simposio «Arquitecturas afectivas: lugares, políticas y culturas del duelo en América Latina» marcó un tiempo para repensar el papel que toman los lugares como espacios de memoria… y polémica. Siendo per sé complejos los procesos post dictatoriales y de conflictos internos, Latinoamérica fue el centro de enunciación y análisis para buscar, aún esquiva, una sentencia que aunque polisémica haga comprensible la construcción, rescate u organización de espacios como museos, monumentos, antiguas guarniciones, cenotafios, exposiciones y también performances teatrales para recordar a las personas que vivieron los dolorosos tiempos de lucha civil. Los especialistas acudieron a Zúrich para exponer acerca de las investigaciones que efectuaron involucrándose con esa sensibilidad fina que aporta la epistemología cuando uno debe hablar sobre muertes, torturas y desapariciones; víctimas y victimarios; derechos y deberes; moralidad y contravalores; elección y discriminación; memoria, duelo y olvido.

Los espacios como (r)evocadores de memoria El uso de softwares para reconocer y establecer una ruta de memoria de antiguos lugares de tortura y muerte de la nefasta etapa dictatorial que vivió la Argentina en la década del 70 fue el eje de la

Mosaico de casos La primera exposición sobre ocultación de la negociación de discursos populares y políticos en los espacios usados comunitariamente para memorar víctimas en Latinoamérica fue abordado por Alexander Brust, partiendo de su experiencia, develó una realidad que acontece en diversas regiones como México y Centroamérica. Los lugares como espacios para

Conferencia en el Museo Rietberg

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exposición de Gonzalo Conte, que comunicó como la ONG Memoria Abierta ha logrado realizar una cartografía que serviría para clarificar a los actores involucrados en la búsqueda de justicia y el acercamiento a la verdad. Ludmila da Silva Catela puso en agenda el conflicto generacional que se vive actualmente respecto a la sensibilidad que reviste el uso y efectos de lugares u objetos evocadores de memoria; la profesora cordobesa señaló los conflictos que se suscitan posteriormente cuando se usa el espacio público para rememorar víctimas y desaparecidos o cuando se empodera el discurso para afirmar o negar hechos acontecidos. Este día invitaba a reflexionar sobre cómo los lugares sirven para recordar, pero a su vez cómo surge una interdependencia entre el olvido y la palabra. La exactitud de la palabra escrita en un monumento perenniza al sujeto pero a la vez su omisión condena al olvido y la exclusión. El protagonismo de la voz callada es vital para entender en la etapa

Memorial de los Detenidos Desaparecidos en Montevideo

desde otro punto de vista, que siempre es bueno para afinar algunos componentes de los trabajos de investigación. Del estudio de caso al método y la conceptualización

Investigaciones en ciernes

El tercer día se cumplió con uno de los principales objetivos de un evento académico, esto es, el de generar debate y sobre todo generarse, entre los participantes, interrogantes acerca de la época y sus características que atraviesa los procesos de duelo en Latinoamérica. Y es que es innegable el paso del tiempo por violencia así como los nuevos componentes que existen en el legado de la sociedad. Los especialistas aclaraban entre ponencia y ponencia la importancia que ha sido investigar y discutir académicamente, concordando en que todavía nos encontramos en una segunda generación de duelo, con lo cual es doloroso y polémico tratar el tema con la población, más aún ejecutar acciones materiales para evocar memoria. Rubén Chabado abrió la rueda de exposiciones comentando lo difícil que es encontrar consenso sobre un estado que tiene tantas aristas como es la memoria, las significancias que se desprenden después de construir o elaborar objetos para no olvidar. El director del Museo de la Memoria de Rosario plantea numerosos cuestionamientos acerca de qué y quién debe recordar; acerca de quién, cómo, por qué o por

Un grupo de jóvenes investigadores del programa doctoral «Métodos y pespectivas» de la universidad de Zúrich –Cristina Albizu, Susan Gujer, Gloria Lorena López, Paul Sutermeister y Luis Eduardo Pérez– dieron a conocer el estado actual de los proyectos que llevan en curso como motivo de tesis. Ellos recibieron un feedback de los especialistas y aportando con sugerencias en bibliografía y en algunos casos en el método a usar. Este espacio sirvió para aclarar dudas y recibir recomendaciones

Memorial del Detenido Desaparecido y del Ejecutado Político, Santiago

«La exactitud de la palabra escrita en un monumento perenniza al sujeto pero a la vez su omisión condena al olvido y la exclusión.» de duelo, qué y cómo se rememora a ambos actores de un conflicto civil interno. Como ideario, la involucración de la sociedad a través del imaginario colectivo acerca del papel de víctima y su reconocimiento como tal, del victimario y su actuar, ayuda a entender lo que realmente pasó y sobre todo legitimar el debate y la discusión, así como tener presente el hecho histórico para trabajar y contrarestar los posibles nacientes de una repetición. La relevancia de la tecnología dilucida un objeto bullente y descubre un nuevo itinerario en la ruta de memoria.

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qué no se debe punir, a lo que llama como una inquietud generada por el acto de recordar. Por otro lado, la visión política y el desarrollo urbano como duales en forma fáctica es observada en la identificación y diferenciación de los lugares de memoria en Santiago de Chile. Carolina Aguilera fundamentó esta posición después de cartografiar los lugares destinados a las víctimas de Estado y espacios reinvindicativos de organizaciones de izquierda, comprobando que están en la periferia de la capital, mientras que las víctimas de militares, así como de la derecha política se sitúan en las zonas de élite y centro santiaguinas. En el caso de Argentina, los secuestrados de la ESMA también se tomaban fotografías, como demostró la funcionaria de IDES Claudia Feld con el trabajo que se realizó con el álbum denominado « Fotos de la desaparición ». El tema que expuso Cecilia Sosa fue la desidia y la indignación alrededor

Conferencistas y asistentes del evento

Cerrando el evento se presentó la profesora de la Universidad del Sur de California, Macarena Gómez Barris, apuntando teórica y lúcidamente a posibles direcciones futuras de estudios de la memoria en América, partiendo de momentos históricos no recientes hasta los actuales de la resistencia mapuche contra la violencia del Estado moderno en Chile. De este modo, después de los tres días de ponencias se pudo conocer la situación por la que atraviesan los estudios sobre memoria, discernir a su vez entre los casos, el valor para aportar al cultivo de análisis y su posterior fortalecimiento de la madurez en la teorización de memoria propia de Latinoamérica. Los participantes pudieron observar cómo las arquitecturas y las otras expresiones evocadoras de memoria configuran la actual morfología del duelo. Finalmente, uno de los aspectos importantes que mencionar fue que la discusión originó interrogantes que se direccionaban y ponían en contacto con distintos campos de conocimiento científico e interpretación social.

«Todavía nos encontramos en una segunda generación de duelo, con lo cual es doloroso y polémico tratar el tema con la población, más aún ejecutar acciones materiales para evocar memoria.» de un hecho que causó revuelo y efectos en todas la esferas de la ciudadanía argentina: la parrillada organizada por el Ministro de Justicia Julio Alak en la ex ESMA. Su ponencia fue la plataforma para repensar el diálogo interno de la sociedad que debe o puede existir en los procesos posdictatoriales. La performance como método para referirse subliminal pero efectivamente sobre las desapariciones en Argentina fue el tema que comentó, a propósito de su pieza teatral, Mariana Eva Pérez. Mauricio Lissovsky expuso sobre la peculiar característica que tiene Brasil en cuanto a política de memoria y cómo la sociedad recuerda a las víctimas de la dictadura de los 70’s. El profesor de la Universidad Federal de Río de Janeiro comentó que en su país no ha habido anteriormente una construcción sustancial de lugares de memoria y que por el contrario la imagen del Pau de Arara o las pintas de un monumento de una plaza realizadas por un estudiante y que capturada en una instantánea rememoran simbólicamente el tiempo dictatorial y sus efectos.

Luis Eduardo Pérez Peralta es doctorando en Literatura Hispanoamericana y miembro del “Programa Doctoral: Métodos y Perspectivas” en Lenguas y Literatura románicas en la Universidad de Zurich. En su proyecto de investigación, dirigido por el Prof. Dr. Jens Andermann, estudia en un plano histórico cultural la función de redes de transporte y el impacto en la sociedad que genera la Carretera Interoceánica, en su tramo peruano. IMPRESSUM Herausgegeben vom «Doktoratsprogramm Romanistik: Methoden und Perspektiven» der UZH. Autorinnen und Autoren sind die RomanistikDoktorierenden der Universität Zürich. Layout und Gestaltung: Paul Sutermeister Kontakt: [email protected] Online: www.rose.uzh.ch/doktorat/ibidem.html

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