Dossier de recherche Terminal 12 Elias Boukenna

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Pour madame Dewas





Le Moyen-Orient : con lits régionaux et tentatives de paix impliquant des acteurs internationaux

1. Le Panthéon des Personnalités importantes

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2. Chapitre 0: Introduction

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3. Chapitre 1: La Guerre du Golf 4. Chapitre 2: Guerre israélo-arabe 5. Chapitre 3: Révolution islamique en Iran 6. Chapitre 4: Le con it Israélo-Palestinien

Colorisations des images avec MyHeritage















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Sommaire

À La mémoire des Hommes Clés de ces con its





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Le Panthéon des Personnalités importantes des différents conflits

Chapitre 1: La Guerre du Golf (1990-1991)

Saddam Hussein 1937-2006

Il naît dans un petit village près de Tikrit en Iraq, dans une famille de paysans sunnites très pauvres. Sans éducation, illettré, il est recueilli par son oncle qui l'inscrit à l'école. En 1955, son installation à Bagdad lui permet de militer au sein du Baath, parti socialiste de la renaissance arabe. En 1959, il participe à la tentative d'assassinat du Premier ministre Karim Kassem. Il est alors contraint à l'exil mais garde pour ambition de s'emparer du pouvoir. Il y parvient avec l'aide du Baath et devient, dès juillet 1979, président de la République. Il installe alors un régime autocratique totalitaire. À la tête d'un pays puissant, il cherche à conquérir des territoires iraniens, et s'engage dans une guerre sanglante contre l'Iran dont l'Irak ressort criblée de dettes. Dans l'espoir de redresser l'économie de son pays, Saddam Hussein se concentre sur le Koweit, qui possède des ressources pétrolières. Le 2 août 1990, l'Iraq envahit le Koweït. L'ONU met alors en place un embargo nancier et militaire contre l'Iraq. Saddam Hussein devient une menace vivante.







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destruction massive, il est chassé du pouvoir en 2003 et prend la fuite. Finalement arrêté pour crime contre l'humanité et incarcéré, il est condamné à la mort par pendaison le 5 novembre 2006 pour le massacre d'un village chiite perpétré en 1982.



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Il Accusé par les États-Unis et le Royaume-Uni de détenir des armes de

George Herbert Walker Bush

Né en 1946 dans le Connecticut, George W. Bush est le ls de George Bush (41° président des États-Unis). Il fait ses études à l'université de Yale et devient homme d'affaire dans l'industrie pétrolière. Très pieux et membre du parti républicain, il est élu à deux reprises gouverneur du Texas entre 1994 et 2000. Il bat le démocrate Al Gore à la présidentielle de 2000 (alors même qu'il comptabilise moins de voix que ce dernier) et devient alors le 43e président des Etats-Unis. Après les attentats de 11 septembre 2001, George Bush instaure le Patriot Act, qui restreint les libertés au nom de la sécurité des Américains et lance des opérations en Afghanistan. Sa guerre contre le terrorisme se poursuit avec l'invasion de l'Irak de Saddam Hussein en 2003 : il évoque une guerre contre « l'axe du mal ». Ayant agi sans l'aval de l'ONU, il est alors décrié sur la scène internationale. W Bush est réélu en 2004 face à John Kerry. Après une chute de popularité liée à la mauvaise gestion de l'ouragan Katrina, il renoue avec l'opinion publique américaine grâce à une meilleure prise en charge de l'ouragan Rita. Il laisse sa place au président démocrate Barack Obama en 2008.







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Collin Luther Powell 1937-2021

Colin Luther Powell, né le 5 avril 1937 à Harlem (New York) il était un général et homme politique américain. De 1987 à 1989, Colin Powell est le conseiller à la sécurité nationale du président Ronald Reagan et à ce titre préside le Conseil de sécurité nationale en remplacement de Frank Carlucci. Il est le premier Afro-américain et le plus jeune of cier à occuper de telles fonctions. De sensibilité plutôt démocrate, le général Powell reste dèle au parti de Reagan (républicain), entraînant avec lui bon nombre de Noirs américains, séduits par le culte de l'effort personnel (« self-help ») et de la réussite individuelle, spéci ques des années Reagan. Grand admirateur aussi de Martin Luther King, il dit un jour que « le temps des droits civiques appartient désormais à l'histoire ancienne des États-Unis. »

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Powell a été nommé par le président George H. W. Bush au rôle de chef d’État-Major des armées, of cier avec le grade le plus élevé dans les forces militaires des États-Unis. Dans ce rôle, il supervise l'invasion du Panama en 1989 et la guerre du Golfe contre l'Irak en 1991. Un temps pressenti comme candidat républicain à la présidence des États-Unis, il y renonce, tout comme il décline la proposition du candidat Bob Dole d'être son colistier pour la présidentielle de 1996. Colin Powell meurt le 18 octobre 2021 de complications dues à la Covid-19, à l'âge de 84 ans





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Après avoir occupé les fonctions du conseiller à la sécurité nationale,

Norman Schwarzkopf 1934-2012

H. Norman Schwarzkopf, né le 22 août 1934 à Trenton (New Jersey), est un général quatre étoiles à la retraite de l'US Army depuis août 1991. Il était le commandant de l'United States Central Command et à ce titre, a dirigé les forces de la coalition lors de la guerre du golfe en 1991. Il af rmera, par la suite, son opposition à la Guerre d'Irak. Avec son expérience en tant que stratège, il est demandé de préparer des plans de défense détaillés pour les champs pétroliers du golfe Persique contre une éventuelle invasion de 'Irak. Dans quelques mois, les plans trouveront une utilisation pratique pendant la guerre du Golfe, avec ce qui sera appelé « Opération Desert Storm».Le 8 Août, 1991 quitter la carrière militaire. La presse à l'époque a rapporté des rumeurs selon lesquelles Schwarzkopf prépare son entrée en politique, mais en réalité, même après que le général à la retraite continue de se présenter comme conseiller militaire. en 1993 Il est frappé par une cancer de la prostate pour lequel elle sera traitée avec succès, et devient une campagne testimoniale pour le diagnostic précoce de cette maladie. Au cours de sa longue carrière militaire, il a reçu de nombreux honneurs, dont deux purple Heart, 3 silver Star, 2 bronze Star. Il a également reçu, la Grande Croix de la Légion d'honneur de république français. Il a été membre du MENSA et il a vécu les dernières années de sa vie Floride. Il a disparu dans Tampa 27 décembre 2012 l'âge de 78 ans suite à une pneumonie









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Chapitre 2: Guerre israélo-arabe (1948-1949) Du cotés Arabes : pages 5 à 8 Du cotés Israéliens : pages 8 à

Gamal Abdel Nasser 1918-1970

Père de la révolution égyptienne qui renversa la monarchie en 1952, Gamal Abdel Nasser (1918 – 1970) contribua à l'émergence du tiers-monde comme force politique. Adulé après la nationalisation du canal de Suez, il devint le leader du panarabisme. Jeune of cier, il se veut très tôt à l'écoute du peuple égyptien avec lequel il partage les sentiments antibritanniques. En 1938, il fait la connaissance d'Anouar el-Sadate. Ensemble ils jure de «libérer l'Egypte». Durant la guerre, Nasser reste du côté des Alliés et découvre la doctrine marxiste qui aura une grande in uence sur son évolution intellectuelle. En mai 1948, Nasser participe à la guerre contre Israël et constate l'état d'abandon de l'armée égyptienne. Au lendemain de la défaite, il fait partie des of ciers qui mettent en cause le régime du roi Farouk.


















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Le 26 janvier 1952, les Britanniques ouvrent le feu sur des policiers égyptiens dans la zone du canal et provoque une explosion nationaliste qui dégénère en émeute. Dans la nuit du 22 au 23 juillet, Nasser s'empare du pouvoir et prend le commandement du Conseil de la révolution, laissant au très populaire général Néguib le poste de chef de l'Etat. Rompant avec Néguib deux ans plus tard, Nasser met en place son pouvoir personnel. Il s'appuie sur l'armée et sur une large fraction de la paysannerie. Bientôt se rejoignent à lui les fonctionnaires et les petits industriels. Mais Nasser demeure peu populaire. C'est au retour de la conférence de Bandung, en 1955, qu'il obtient une la reconnaissance des masses. Le 26 juillet 1956, alors que Nasser s'est tourné vers l'URSS pour obtenir le soutien que l'Occident refuse de lui donner, il annonce la nationalisation du canal de Suez pour nancer la construction du barrage d'Assouan. Mais les Britanniques, les Français et les Israéliens tentent une action militaire qui tourne court sous la pression des Américains et des Soviétiques. L'épisode de Suez donne à Nasser une stature internationale. Il développe le « nasserisme », doctrine qui allie le panarabisme exhortant à l'union contre Israël et un socialisme à l'égyptienne. Après la défaite de la guerre des SixJours, en 1967, Nasser se réfugie dans l'exaltation du sentiment national qui culmine avec l'inauguration du barrage d'Assouan, construit avec l'aide des Soviétiques. Il passe les trois dernières années de sa vie à réexaminer la question israélienne, sa politique extérieure est alors moins marquée par le panarabisme. En juillet 1970, Nasser accepte le plan de paix avec l'Etat hébreu que propose Washington et s'interpose entre Jordaniens et Palestiniens, alors en con it. Il meurt d'une crise cardiaque, le 28 septembre 1970.

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ANOUAR EL-Sadate 1918-1981

Anouar el-Sadate est né le 25 décembre 1918 à Mit Aboul Koum, Al-Minufuyah, en Egypte, dans une famille pauvre de 12 enfants. Il est diplômé à l'Académie Royale du Caire en 1938. Lors de la domination des britanniques, il se rallie au mouvement des of ciers libres en tant qu'opposant et collabore également avec l'Afrika Korp en 1942. Farouk le Roi est désigné responsable de la défaite de la Guerre Israelo-Arabe de 1948. Après cette Guerre, il forme avec Gamal Abdel Nasser une association clandestine et préparent ensemble le coup d'État contre le Roi Farouk 1er, qui est détrôné en 1952. La République d'Égypte est proclamée en 1953. Nasser devient Président et El Sadate son Vice-président. A sa mort en 1969, El Sadate est élu Président et souhaite prouver la légitimité des nations arabes en entamant la Guerre de Kippour en 1973 a n de récupérer la Syrie perdue pendant la Guerre des 6 Jours. L'attaque inattendue du côté israélien mène à la victoire les Égyptiens. Cette défaite, il l’a transformé en victoire et a montré que l’armée israélienne n’était pas invincible, il se rendra en Israel pour faire un discours, où il fera un premier pas contre les con it armée contre Israel, cette effort de El Sadate ne plairera pas forcement aux pays arabes. Et le 26 mars 1978 un traité de paix est signé aux Etats Unis entre l’Egypte et Israel, Sadate aura par la suite le prix Nobel de la paix, mais sera au vues du monde arabe une trahison. Du à cela Sadate est assassiné lors d’une parade militaire par des soldats du djades egyptiens en 1981.






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Yasser Arafat 1929-2004

Militant palestinien, Yasser Arafat fonde le Fatah ("conquête") en 1959, un mouvement national pour la libération de la Palestine. Il organise alors des raids en territoire israélien. Le Fatah devient une composante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) en 1968 et Arafat est élu à sa tête un an plus tard. Encourageant dans un premier temps les actions terroristes, il privilégie à partir de 1974 un règlement politique du con it. Il est alors convié à l'assemblée générale de l'ONU où il plaide en faveur d'un règlement paci que, tout en poursuivant des actions militaires en Israël et dans les territoires occupés. Après l'intifada en 1987, Arafat s'engage avec l'OLP à poursuivre dans la voie diplomatique. Cela aboutira aux accords d'Oslo en 1993, qui scellent la reconnaissance mutuelle entre l'OLP et l'Etat d'Israël. Arafat est élu président de la nouvelle Autorité palestinienne en 1996. La paix est cependant remise en question lors de la seconde intifada en 2000 et à cause de l'essor des islamistes du Hamas. A partir de 2001, con né à Ramallah par Ariel Sharon, il perd peu à peu sa place de leader dans les négociations sur la résolution du con it.



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Golda Meir 1898-1978

Golda Meir est une femme d'état israélienne et l'une des gures de l'histoire politique de ce pays. Née en Ukraine en mai , Golda Mabovitch de son vrai nom, grandit aux États-Unis à partir de .À ans, elle fréquente les milieux socialistes sionistes et s'installe en Palestine en . Elle devient une représentante du syndicat Histadrout, puis participe à la fondation du parti Mapaï. Elle assiste en à la conférence d'Evian, dont le but était d'aider les juifs européens à fuir l'Allemagne nazie. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, elle devient l'un des principaux responsables du mouvement sioniste en Palestine et négocie directement avec le gouvernement britannique. Le mai , elle signe la déclaration d'indépendance de l'État d'Israël. Après un séjour aux États-Unis pour trouver de l'argent pour le tout nouvel état, elle est nommée ambassadrice en Union soviétique, un poste qu'elle occupe jusqu'en . Après avoir été ministre du Travail de à , puis ministre des Affaires étrangères de à , elle souhaite prendre du recul sur son activité politique. Premier ministre durant la guerre du Kippour, celle qui fut surnommée la Dame de Fer ou la Grand-mère d'Israël démissionne le avril et se retire de la politique.



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Elle a aussi été sélectionner en 2020 dans la liste des 100 femmes de l’année par Le Time Elle meurt en 1978. Elle est enterrée au mont Herzl où sont inhumés tous les personnages importants de l'État Israélien ainsi que certaines

gures du sionisme politique moderne.







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Moshe Dayan 1915-1981

Moshe Dayan est LE symbole de la puissance militaire d’Israël. De lui, on ne sait pourtant que peu de choses. Pilier de la Haganah pendant la guerre de 1948, vainqueur de la campagne de Suez (1956) et de la guerre des Six Jours (1967), ce général aux airs de pirate (il a perdu son œil gauche alors qu’il se battait aux côtés des forces alliées pendant la Seconde Guerre mondiale) est l’une des plus grandes gures israéliennes. Figure du Parti travailliste, Dayan a été député, ministre de la Défense et ministre des Affaires étrangères.De héros de guerre, l’homme est devenu un politicien maudit, cloué au pilori avec la même unanimité qui avait fait sa grandeur. Il est mort en 1981 à l’âge de 65 ans.




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Chapitre 3: Révolution islamique en Iran

Rouhollah Khomeini 1902-1989

L’ayatollah Khomeini est connu pour être le leader de la révolution islamique en Iran en 1979, qui mit n au règne du shah Mohamed Reza Pahlavi. Cependant, il est courant d’oublier qu’il obtint le pouvoir dix ans seulement avant sa mort et que l’essentiel de sa carrière se déroula avant la [révolution de janvier-février 1979.Au moment de son retour au pays, Khomeyni est un modèle, un symbole pour la population iranienne. Le 1er mars 1979, il prononce un discours dans lequel il déclare vouloir rompre avec la civilisation occidentale, af rmer la suprématie des valeurs de l’islam, maintenir l’unité du peuple pour reconstruire le pays sur de nouvelles bases, augmenter la vigilance

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contre les ennemis de l’intérieur comme de l’extérieur et instaurer une république islamique. Un référendum sur cette question est organisé les 30 et 31 mars. 97% de la population y répond favorablement. En septembre 1979, Taleghani, chef des religieux modérés, meurt, laissant le champ libre à Khomeyni pour diriger le pays selon ses souhaits.Ainsi, malgré l’élection de Bani Sadr à la présidence de la république le 27 janvier 1980, c’est Khomeyni qui dirige le pays. Bani Sadr est lui-même vite évincé du pouvoir en juin par décision des Majles, les chambres parlementaires, sur demande de Khomeyni. Khomeyni place en effet au pouvoir ses collègues ayatollahs, les considérant seuls capables de suivre la sharia, la loi islamique, sans se laisser corrompre par l’Occident. Il utilise également la guerre contre l’Irak de Sadam Hussein pour forti er l’unité nationale à travers le patriotisme. Il fait ainsi de cette guerre sa croisade contre le sécularisme et la modernisation à l’occidentale et ce, aux dépens des nances du pays. Cette politique provoque en 1982 une tentative de coup d’Etat contre lui de la part d’un ayatollah plus modéré. La guerre prend n le 18 juillet 1988, la défaite iranienne devenant de plus en plus évidente, la population ne soutenant notamment plus ce con it sanglant. Khomeyni accepte la n des combats, à contrecœur, sous peine de perdre ses soutiens à l’intérieur du pays. Khomeyni, malade depuis le printemps 1988, meurt le 3 juin 1989, laissant sa place à l’ayatollah Ali Khamenei. Le 6 juin, des obsèques nationales mobilisent des milliers de personnes dans le pays, et sont comparées à celle de Nasser en Egypte.



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Sadegh Ghotbzadeh 1936-1982

Alors étudiant, il milite au Front national après la chute du gouvernement de Mohammad Mossadegh en 1953. Il fait des séjours en prison puis en 1959 il quitte l'Iran et vit en Europe et en Amérique du nord. De 1959 à 1963, il étudie à l'université de Georgetown et participe en 1961 à la création du Freedom movement of Iran mouvement politique d'opposition au Shah. Son passeport américain lui ayant été retiré, il part vivre en Algérie, en Égypte, en Syrie et en Irak pays où il rencontre Khomeini en 1963. À la n des années 1960, il part au Canada faire des études supérieures à l'université Notre Dame à Nelson. Il s'installe ensuite à Paris et travaille comme correspondant du journal syrien Al Thawra. En 1978, il quitte le Freedom movement of Iran et



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devient un proche de Khomeini en étant son conseiller en relations avec les médias pendant son exil de 1978 en France, ainsi que le ministre des Affaires étrangères (30 novembre 1979 - août 1980) pendant la crise des otages américains en Iran à la suite de la Révolution iranienne. En novembre 1980, il est arrêté et reste trois jours en prison pour avoir critiqué la république islamique. En août 1982, de nouveau arrêté, il est jugé sous l'accusation d'avoir conspiré pour l'assassinat de l'ayatollah Khomeini et pour le renversement de la République islamique d'Iran. Il est condamné à mort puis est fusillé le 15 septembre 1982 à la prison d'Evin à Téhéran.

Sadegh Ghotbzadeh et sa mère





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Abolhassan Bani Sadr 1933-2021

Premier exil À Paris, il poursuit ses études et ses recherches dans trois disciplines : l’économie, la sociologie et l’Islam. Durant ces années, le débat politique est dominé par une guerre des primautés : primauté de l’indépendance sur la liberté, primauté de la liberté sur l’indépendance, primauté de la révolution sociale et de la dictature du prolétariat sur la liberté et l’indépendance, primauté de l’Islam sur l’ensemble de ces principes. Pour mettre n à cette guerre des primautés, Bani Sadr va dé nir sur la base de l’équilibre nul, les principes de l’indépendance, de la liberté, du développement de l'homme et assainissement de la nature et de l’islam. Cette nouvelle voie permettra de mettre un terme à cette

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guerre des primautés et donnera naissance à la pensée directrice de la Révolution iranienne. Abol Hassan Bani Sadr poursuit également ses activités politiques et met notamment en place avec d'autres Iraniens exilés, le Comité Jean Paul Sartre pour la défense des prisonniers politiques iraniens. En 1971, il fait la connaissance de l'ayatollah Khomeini à Nadjaf, lorsqu’il s’y rend pour accompagner la dépouille de son père. En octobre 1978, quand Khomeini est expulsé d'Irak, Bani Sadr lui propose de venir en France et l'accueille d'abord dans son appartement de Cachan. Le 10 octobre, Khomeini s'installe à Neauphle-le-Château, où il va lancer le mouvement qui aboutira à la chute du régime du shah. Bani Sadr est alors l'un des trois plus proches conseillers de l'imam, avec Sadegh Ghotbzadeh et Ebrahim Yazdi. Il est chargé de la dé nition du contenu politique du mouvement d'opposition au régime iranien. Retour en Iran En février 1979, il rentre en Iran. Il est élu en deuxième place, à Téhéran, à l’Assemblée des experts pour la rédaction de la première constitution. Il est nommé ministre des Finances et ministre provisoire des Affaires étrangères pour résoudre la crise des otages de l’ambassade américaine de Téhéran, à laquelle il s’opposait.















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En janvier 1980, il est élu président de la République à une très large majorité (76 % des voix). Le candidat des religieux n'obtint que 4 % des voix. Le 22 septembre 1980, avec le déclenchement de la guerre Iran-Irak, il est constamment présent sur le front, en tant que chef des forces armées. Les perspectives d’une victoire sur le front et la crainte d’une mise à l’écart des religieux, d'une part, et ayant fait le compromis concernant les otages américains avec l'état-major du candidat à la présidence Ronald Reagan de l'autre, poussent les dirigeants du Parti de la République islamique à fomenter un coup d’État contre lui. Il est destitué en juin 1981. Deuxième exil Bani Sadr vit alors en exil en France, à Versailles, dans une villa protégée par la police française. Il poursuit son combat pour la démocratie en Iran. Convaincu que celle-ci, mais aussi dans les autres pays musulmans, exige une renaissance dans la pensée islamique, il a travaillé sur les principes directeurs du Coran, notamment son principe de base, l'équilibre nul ou l'absence de rapports de force. À la lumière d'une lecture basée sur ce principe, il a écrit de nombreux livres pour dé nir les principes directeurs du Coran, la place des droits de l'homme et de la femme et pour montrer que le discours du Coran est un discours de l'indépendance et liberté de l'homme et non un discours de pouvoir.



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Les résultats de ses recherches sont publiés sous forme de livres ou d’articles, principalement en français, anglais, arabe et persan. Abolhassan Bani Sadr meurt le 9 octobre 2021 à hôpital de la PitiéSalpêtrière à Paris, des suites d'une longue maladie, à l'âge de 88 ans. Il a été inhumé au cimetière des Gonards, à Versailles, en respectant sa dernière volonté qui est de reposer en France tant que la démocratie n'aura pas été instauré en Iran.





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Ebrahim Yazdi 1931-2017

Dès l’âge de 15 ans, Ebrahim Yazdi a commencé à militer contre le régime du chah d’Iran, à Téhéran, avant de s’exiler aux Etats-Unis, en 1960, pour poursuivre ses études. A Houston (Texas), il fonde l’Association islamique des étudiants des Etats-Unis et du Canada, l’un des groupes précurseurs de la révolution iranienne. En 1979, alors que la révolution iranienne battait son plein, les journalistes qui venaient rencontrer l’ayatollah Khomeyni à Neauphle-le-Château (Yvelines) se souviennent tous d’Ebrahim Yazdi. Assis par terre, l’homme, à la barbe fournie et aux cheveux bouclés, impressionnait par sa maîtrise de l’anglais et le soin qu’il mettait à traduire les échanges. C’est aussi dans ce même village qu’Ebrahim Yazdi, proche conseiller du dignitaire chiite, s’employait, sous sa supervision, à dé nir « un programme stratégique » pour ce qui deviendra, quelques mois plus tard, la République islamique. Le 1er février









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1979, Ebrahim Yazdi fait partie du proche entourage de l’ayatollah Khomeyni qui l’accompagne, à son retour en Iran, après quatorze années d’exil, en Irak et en France. A son retour en Iran, en 1979, Ebrahim Yazdi devient membre du Comité de la révolution, chef du plus grand quotidien du pays, Keyhan, puis ministre adjoint des affaires étrangères avant d’accéder au poste de ministre, au sein du gouvernement du premier ministre Mehdi Bazargan, une gure nationaliste et islamiste modérée. Le 4 novembre 1979, des étudiants islamistes prennent d’assaut l’ambassade américaine à Téhéran. La prise d’otages des diplomates américains durera quatre cent quarante-quatre jours, mettant un terme à toute relation diplomatique entre Washington et Téhéran. Opposé à ces méthodes, l’ensemble du gouvernement de Mehdi Bazargan démissionne, y compris Ebrahim Yazdi. Député jusqu’en 1983, Ebrahim Yazdi voit ensuite toutes ses candidatures aux élections législatives comme présidentielles rejetées. En cause : le groupe politique fondé par Ebrahim Yazdi et Mehdi Bazargan, le Mouvement de la liberté (Nehzat-e azadi en persan), interdit sur instruction écrite de l’ayatollah Khomeyni. Les membres du Mouvement de la liberté ont régulièrement mis en doute la véracité d’une instruction. Succédant à Mehdi Bazargan comme chef du Mouvement de la liberté après sa mort en 1995, Ebrahim Yazdi a été arrêté et condamné à des peines de prison à plusieurs reprises. Son dernier procès remonte en 2011, lorsqu’il fut condamné à huit ans de réclusion pour avoir protesté, en 2009, contre la réélection contestée de l’ancien président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad (2005-2013). Il fut laissé en liberté conditionnelle en raison de son état de santé. Et meurt en 2021 en Turquie.





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Mohammad Reza Pahlavi (le chah) 1919-1980

Il succède à son père, Reza Chah, lorsque ce dernier, jugé trop proche de l'Allemagne nazie, est contraint d'abdiquer en septembre 1941 lors de l'invasion anglo-soviétique de l'Iran. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le jeune chah est confronté aux tentatives sécessionnistes dans les provinces du nord-est lors de la crise iranosoviétique et aux rébellions tribales dans le sud du pays. Mohammad Reza Pahlavi se rapproche par la suite des États-Unis et entretient des liens très étroits avec la Maison-Blanche, en particulier avec les présidents Dwight Eisenhower et Richard Nixon. Mohammad Reza Pahlavi assiste à la nationalisation de l'industrie pétrolière iranienne, alors sous contrôle britannique







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depuis 1913, par son Premier ministre nationaliste Mohammad Mossadegh, à cause du refus de l'Anglo-Persian Oil Company (APOC) de renégocier les termes du contrat d'exploitation des gisements pétroliers. Cette décision entraîne une crise internationale entre l'Iran et le Royaume-Uni. En réaction à l'in uence grandissante de Mossadegh, les services secrets anglo-américains le renversent en 1953 pendant l'opération Ajax, obligeant le chah, qui les a soutenus, à s'exiler en Italie. Cependant, grâce à l'armée dirigée par le général Zahedi, il est rapidement restauré sur le trône. Évoluant ensuite vers une conception plus nationale, réformiste et autoritaire de la politique intérieure, le chah d'Iran entreprend, par référendum, un vaste programme de transformation sociale et économique, la « Révolution blanche », associé à une répression des mouvements d'opposition incarnée par la SAVAK. À l'extérieur, tout en demeurant un allié de premier plan pour les Américains et les chancelleries occidentales, le chah se rapproche aussi progressivement de l'Union soviétique puis de la Chine, traduisant ainsi un désir d'émancipation à travers plus de neutralisme. Si la politique volontariste du chah permet une croissance économique forte (8,8% par an pendant le Ier plan entre 1962 et 1968, 25 % par an à la n du Ve plan en 1977) et conduit à une modernisation rapide dans les années 1960 et 1970, elle s'accompagne d'une accentuation de la corruption et des inégalités



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sociales et d'effets économiques pervers (in ation, hausse des loyers, problèmes urbains). Elle contribue à élargir le fossé économique, social et culturel entre une partie de la population, fortement occidentalisée, et une autre, sensible au conservatisme religieux prêché par Khomeini. Dans les années 70, il renforce son pouvoir autoritaire, imposant un système de parti unique en 1975 et étendant l'emprise de la police politique, la SAVAK. "Les sévices corporels et les exécutions sommaires étaient courants”. Les prisons politiques étaient le théâtre de fréquentes grèves de la faim. Dans cette période, son orgueil et son ambition s'accroissent. "Sa mégalomanie s'accompagne d'un grand cynisme politique" entouré d'un discours destiné à plaire à ses alliés américains. Néanmoins, à partir de 1977, il limite la répression, contraint par le président américain nouvellement élu, Jimmy Carter, qui préconise une politique de respect des droits de l’Homme. Les opposants pro tent de l'occasion. Les intellectuels de gauche, généralement laïcs organisent dès 1977 des rencontres culturelles qui sont autant de débats politiques. L'année suivante, l'opposition islamique réapparait au grand jour. De plus en plus critiqué, le chah fait face à un soulèvement populaire, la Révolution iranienne, qui s'accentue au l des mois et où s'imposent nalement les fondamentalistes chiites inspirés par l'ayatollah Khomeini. En

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janvier 1979, après avoir perdu progressivement ses soutiens traditionnels et l'appui occidental, Mohammad Reza Pahlavi nomme en dernier recours l'opposant social-démocrate Chapour Bakhtiar au poste de Premier ministre et quitte ensuite l'Iran. Le renversement du gouvernement Bakhtiar et la déclaration de neutralité de l'armée, quelques semaines plus tard, précipitent sa chute et contribuent à l'avènement de Khomeini. Contraint à l'exil et atteint d'un cancer, Mohammad Reza Chah Pahlavi meurt en Égypte l'année suivante.

Mohammad Reza Pahlavi et Farah Pahlavi lors de leurs mariage en 1959





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Chapitre 1

LA Guerre Du Golf I 1990-1991





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Code couleurs de ce chapitre : Noir : texte normal Rouge : moments important de cette guerre Bleu : les américains Violet: Israel Vert : écologie

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’ai Décidé de parler de la guerre du golf en premier lieu car elle est simple à comprendre et regroupe à mon sens beaucoup de facteurs concluant avec l’objet conclusif, j’aborderai ce premier chapitre en deux parties, la première raconte la guerre pour ensuite expliquer pourquoi celle-ci est si unique et quel lien a elle avec l’objet conclusif. Voyons donc son commencement.

Partie 1 : explication de la guerre du golf A. L’après guerre irakienne & le début du projet Koweit

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ous sommes le 20 août 1988, l’Irak vient de finir sa guerre avec l’iran, les dégâts sont important on compte environ un demi-million de soldats iraniens et irakiens, 8 ans de guerre, pour finalement revenir sur les accords territoriaux d'Alger de 1975, mais cette guerre peut être le déclenchement de la guerre du golf. En effet en 1988, l’Irak va mal, il a débourser une grande majorité de sa richesse dans le militaire pour son conflit avec l’iran au lieu d’équilibrer le tout au bon développement du pays. l’Irak a également empreinté beaucoup d’argent à l’Arabie saoudite et le Koweit. Donc l’Irak va mal après la sortie de sa guerre contre l’iran. Mais à ce moment là un homme





















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important va conduire et modéliser cette crise national en une nouvelle guerre ou tout au moins au début en invasion, c’est homme est…

Saddam Hussein. Cette homme prend la tête du pays en 1979 et aura un impact sur la guerre du golf. Tout d’abords Saddam est conscient de l’état de son pays, et voit que ses citoyens sont mécontents, donc il va utiliser cette colère pour expliquer que le Koweit est historiquement à l’Irak et très proche, en effet les deux peuples était les memes durant l’empire ottoman, il n’y avait pas de frontière c’était le même peuple. C’est l’empire britannique qui a “crée” le Koweit. C’est pour cela d’ailleurs qu’en 1961 lorsque le Koweit a l’indépendance, l’Irak n’est pas si heureux que ça, pour eux le Koweit n’est pas un pays appart mais plus une région de l’Irak perdu . En faisant cette stratégie beaucoup vont le suivre en proclament l’invasion du Koweit. Mais pourquoi fait il ça?? Qu’a il a gagner??

Tout d’abord le Koweit demande 15 milliards de Dollars à l’Irak pour son empreint de guerre, ce que Saddam ne supportera pas, de plus la stratégie irakienne est d’augmenter ses prix de barils d’essence pour compenser au maximum sa crise, mais le problème sont les pays voisins qui eux, restent sur des prix normaux gâchant alors cette tentative irakienne. Parmi ces pays concurrent il y a vous l’aurez compris le Koweit, ce petit pays qui est riche et qui, dans la tête de Saddam estime être une propriété de l’Irak.de plus Depuis 1986 le pétrole baisse de prix l’Irak n’est pas content et voit le concurrent Koweit, s’enrichir avec le pétrole. Donc envahir le Koweit ne sera pas totalement incohérent avec leurs histoires, le peuple est pratiquement le même en effet ce sont des musulmans chiites, ce qui n'est pas courant, car le reste du monde est composé en majorité de musulmans sunnites. il pourrait aussi gagner beaucoup d’argent grâce au pétrole qui est beaucoup présent au Koweit, mais aussi pour le marché







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maritime, en effet l’Irak ne possède que 19km de terres donnant vers la mers alors que le Koweit ce si petit pays en possède 20 fois plus, donc en ayant le Koweit dans sa poche, l’Irak pourra mieux développer son économie maritime, de plus la frontière entre l’Irak et le Koweit est important économiquement, il y a en effet pleins de lieux où on peut extraire du pétrole mais inaccessible du coté irakiens contrairement aux koweitiens, ce problème plus que frustrant peine aussi beaucoup les irakien.Donc tout est a gagné du coté de Saddam, il a en plus une lecture du monde particulière, selon lui si l’urss s’affaiblit comme pour les états unis, il existera alors un monde multipolaire où le monde arabe aura une place importante à jouer, il en est convaincu. donc selon lui si il envahi le Koweit les autres pays arabes ne chercheront pas d’ennuis et profiteront au contraire de la situation. Donc la tension monte en interne, et l’Irak est bien vu médiatiquement, en effet Le monde pensait que l’Irak avait la 4ème armée mondial, donc Sadam Hussen pensait que cette pensée mondial allaient les dissuader de l’embêter. Et un pays en particulier, avait peur de la monté de pouvoir des irakiens, ce peuple est Israel.

Une peur d’une détention d’arme nucléaire en Irak inquiète les autres pays, dont l’israël. Donc l’israël décide de faire un raid en détruisant des moyen de fabrication d uranium qui était livré de base par la france. Ce raid israélien est assez maladroit mais fonctionne, en effet le raid survole la Jordanie en se faisant passer pour des appareils saoudien égarés, puis passant au dessus de l’Arabie Saoudite en se faisant passer pour des appareils jordaniens égarés et finissant par atteindre leurs cibles détruisant tout espoir à l’Irak de posséder une arme nucléaire et ce pas avant 5 à 10 ans. Les américain aussi s’inquiète de la monté en pouvoir de l’Irak, mais préfère voir leurs intérêt, en effet grand consommateur de ressources pétrolier, les Etats Unis s’intéressent au libre accès à des coups raisonnables du









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pétrole, la surproduction et la chute des prix est une opportunité a ne pas laisser pour les Etats Uniens. Mais en février 1990 lors du ccg ( conseil de coopération du golfe) Sadam Hussen va accuser les états unis d’avoir des visée impérialiste sur le golf.

B. Le commencement de la Guerre

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n Mai 1990 le ministre irakien Tarek Aziz, dénonce la politique De surproduction pétrolière des pays producteur, et demande au Koweit plus de 10 milliards de dollars d’indemnisation, qui en juillet 1990 refusera de payer bien évidemment. Le 27 juillet 1990 en suisse on accepte d’augmenter le prix du braille mais c’est toujours insuffisant pour l’Irak. La CIA de leurs cotés remarquent par satellite, que les troupes iraquiennes se rapproche dangereusement des frontières du Koweit, donc naturellement les Américains vont prévenir le Koweit. Mais pour le Koweit, l’Egypte, et l’Arabie saoudite, ne voient pas ça comme une menace mais du chantage pour leurs forcer la mains au niveau du pétrole. Mais un événement déterminant pouvant convaincre définitivement que Saddam pourrait bien envahir le Koweit. En effet juste avant la Guerre il demande à l’ambassadrice des Etats Unis de ce qu’elle pense de cette tension irakienne-Koweit, et elle rétorque que pour les Etats Unis ce n’est pas leurs problème, elle explique que les Etats Unis n’ont aucun partenariat militaire avec le Koweit donc si l’Irak envahi le Koweit, cela restera pour les Etats Unis qu’un problème qu’inter Arabe. Donc Saddam voit alors une opportunité folle, il est largement capable d’envahir le Koweit, les Etats Unis s’en mêleront pas, et les pays arabes selon lui le soutiendrait ou en tout cas n’interviendrait pas. Donc peu de temps après le 2 août 1990, vers 2h du matin, les forces militaires iraquienne s’approche des frontières du Koweit pour les envahir. Personne dans le

















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monde entier s’attendait à ce que Sadam Hussen ose envahir un pays frère. Avec le nombres d’équipent militaire et moderne de l’Irak, le Koweit n’a aucune chance de résister. À 4h45 le pays est complètement envahi par les iraquiens. De koweitiens décideront de s’enfuir vers l’Arabie saoudite, le pillage iraquien qui représente 4milliards de dollars peut alors commencer. Tous le pillage est alors transféré à Bagdad. La première lecture fausse de Saddam était les pays arabes, en effet Pratiquement tous les pays arabes proclament une condamnation pour les iraquiens. au moment où l’Irak envahie le Koweit, les occidentaux voient cela comme un défit vers ce nouvel ordre mondial fait de paix et de coopération vers lequel les politiques aimeraient se diriger. Le 2 aout 1990, 6h00, à la demande du Koweit, l’adoption par le conseil de sécurité de l’ONU de la résolution 660 se fait (a pour but de le retrait de l’Irak sur le Koweit. La grande Bretagne, la france, et les états unis décident, le boycotte financier et le gels des avoirs irakiens et aussi Koweitiens pour éviter que les irakiens les touchent. 6 aout 1990 la résolution 661 réclame l’embargo total de l’irak. Cette résolution aura pour conséquence de créer une crise et une pénurie de carburant touche les pays. Malgré le pillage iraquien, les stock alimentaires ne suffisent pas pour assouvir la population, c’est pour cela qu’en Septembre 1990, une mise en place d’un rationnement s’effectue. Les hôtes de la paix sont des détenues qui seront éparpillés sur des sites stratégiques pour éviter tout bombardement américains par exemple.

















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Le 8 aout 1990 le début de l’opération “bouclier du désert” se met en place. De base elle est là pour empêcher l’Irak d’envahir d’autres pays frontaliers dont l’Arabie saoudites. Et le 25 août 1990, finit la diplomatie, l’ONU autorise l’emploie de la force donc militaire pour cette opération et ce conflit. Et le 29 aout l’Irak annonce que le Koweit devient alors la 19eme provinces officiel de l’Irak. Le 15 septembre la france rejoint la coalition. ET le 29 novembre l’ONU annonce l’ultimatum à l’Irak jusqu’en janvier 1991 si l’Irak n’a pas quitté le sol Koweitien. C’est Alors que le 9 janvier 1991 que le sénat americain autorise à Mr Bush le feu vert pour une intervention armée dans le golf, puis en france le 16 Janvier 1990. Après l’expiration de l’ultimatum de l’ONU, l'opération “tempête du désert” est lancée le 15 janvier 1991. Plus de 28 pays y participeront à l’opération sans pour autant y être actif pour certains d’entres eux, même des pays arabes seront pour cette guerre. Mais qu’en est il du coté de l’Israël ?? Au début L’Israël soutenait l’Irak, mais voyant sa puissance militaire augmenté, et par peur que les pays arabes font une coalition contre elle, Israel décide d’être neutre entre la coalition international et l’Irak. Et Pour éviter de ne plus avoir d’arabes à leurs côtés, les américains vont dissuader Israel d’envoyer des troupes dans la guerre, et en contre partie de défendre les israéliens en cas d’invasion iraquien. Mais un problème se manifeste pour l’Irak, en effet face à la coalition international, l’Irak ne fait pas le poids déjà niveau militaire en effet Le nombres de matériels militaire ( dont le f17 furtif qui avait surpris tous le monde) ou d’homme de la coalition est

















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supérieure à l’Irak, de plus la technologie de leurs équipement militaires, fait que l’Irak est technologiquement en retard. C’est aussi à savoir mais cette guerre c’était pour l’époque la guerre la plus médiatisé le début de l’opération est carrément diffusée en direct sur Cnn La guerre du golf était ainsi vu comme une guerre de haute technologie, même sut techniquement cela est faux. Les médias sont alors utilisé par la coalition en faisant par exemple exprès de divulguer de fausses informations, pour que les irakien pense qu’un débarquement des marines aurait lieu sur les côtes koweitiennes. Donc la stratégie de déception est alors utilisé par la coalition. Malgré les Plus de 9000 mort Chez les iraquiens durant les 40 jours d’entrainement avant la bataille terrestre, les irakiens ne veulent pas perdre le Koweit, et persistent à garder ce territoire. Le 24 février 1991 l’offensive terrestre commence. Les français et américains avancent à plus de 80km en une journée sur le sol irakiens. Malgré quelques tentatives de puissances, partout les armées irakiennes s’enfuis avec beaucoup de désordre. Le 25 fevrier 1991 les troupes coalition on fait plus de 150km et ne sont plus très loins de Bagdad et de Koweit City.Le 26 février 1991 sur la route direction Koweit City la coalition bombardera celle-ci faisant en seulement 30 minutes plus de 25 000 mort, on l’appellera ensuite “l’autoroute de la mort”.

















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Pour ruiner l’économie du Koweit les irakiens bruleront les endroits de puisement de pétrole.

Le 26 février 1991 sur la route direction Koweit City la coalition bombardera celle-ci faisant en seulement 30 minutes plus de 25 000 mort, on l’appellera ensuite “l’autoroute de la mort”. 27 février 1991, Koweit est libéré ce qui fut un franc succès pour la mission de la coalition qui fut plus une balade militaire qu’une vrai guerre, même les français diront “on est rentré comme dans du beurre”. Le 28 février 1991 les américains et irakien annonce un cessez le feu la guerre du golf est terminer, meme si celle ci reprendra en 2003 pour renverser le gouvernement irakien et arrêter Sadam.









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Cette guerre du golf aura pour conséquence d avoir eu du coté de la coalition environ 1000 morts, les irakiens sont d’environ 100 000 morts, beaucoup disent que les civiles sont entres 50 000 à 130 000 morts même si cela est dif cilement véri able. 1/7 de l’armée américaines se plaindra de symptômes de migraine ou autres qui sera peut-être du aux minutions à l’uranium irakiens ou vaccin contre la neurotoxine, ou des pilules anti sommeils. Et niveau écologique aussi c est un désastres l’Irak à volontairement pollué les eaux du golf, puis avec ses bombes d’Uranium. Le Koweit perd beaucoup d’argent à cause de cette guerre du aux pétroles brulé à cause des irakiens, c’est pour cela que l’ONU mettra en place de 1993 à 2003 le programme “pétrole contre nourriture. Après cette guerre de nombreux guerres civiles se déclencheront dans le pays irakiens, Sadam aura après la guerre une réputation médiocre par les autres pays arabe et la scène international. Beaucoup d'Américains reproches à Bush de ne pas avoir continuer la guerre du golf jusqu'au bout pour renverser Sadam, et donc éviter la guerre du golf de 2003.









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Partie 2 : La Guerre Du Golf , une nouvelle aire avec les droits internationaux

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près avoir vu cette guerre en détail nous allons voir comment elle peut être en lien avec l’objet conclusif. Pour moi comme dit dans le titre de cette deuxième partie, La Guerre du golf est une nouvelle aire avec les droit internationaux.Car en effet la coalition et le but de l’ONU était là pour maintenir la paix, et non renverser la dictature de Saddam, c’est pour cela qu’ils ne sont pas allés à Bagdad, dès qu’ils ont constaté le cessé le feu ils ont arrêté toutes percé irakienne. Donc le but de la coalition international était de maintenir la paix à échelle international, de nombreux pays y ont participé sans pour autant être menacé par l’Irak. Il y a eu dans ce conflit plus de 28 acteurs internationaux, et sans eux le Koweit n’existerait plus et peut-être même que Saddam aurait envahi l’Arabie Saoudite qui est juste à coté avec des zones pétrolière. Certains ont collaboré pour la paix et d’autres par peur que l’Irak prend trop de pouvoir. Cette Guerre du golf m’a beaucoup fait penser à Ukraine-Russie, où poutine utilise le même discours que Saddam en utilisant le coté historique des deux pays pour essayer de convaincre son peuple et d’envahir le territoire, là aussi il y a une coalition international qui notamment essaye de boycotter au maximum la Russie pour le maintiens de la paix même si malheureusement ce n’est pas aussi simple, et là aussi cette guerre est très médiatiser. Même si une différence ce joue, le nucléaire. Le nucléaire peut être une clé pour la paix (dissuasion nucléaire) mais aussi un rempart contre celle-ci, je pense que si Saddam avait eu des armes nucléaire comme poutine actuellement, cela aurait été beaucoup plus difficile d’atteindre la paix même si l’Irak était inférieur sur tous les points militaire que la coalition. mais aussi les frontières qui soutienne la stabilité, je m’explique par exemple si un pays proclame une modification des frontière à son avantage, cela pourrait créer une guerre, les frontières ont eu une forte importance comme entre l’Irak et le Koweit et cette tension où comme expliquer précédemment que les exploitations pétrolier n’était possible que du coté frontalier koweitiennes qui a agacé l’Irak leurs demandant 10 millards de dédommagement. Les frontières maintiennent la paix, mais si celles ci sont menacé, un conflit ou une guerre a beaucoup de chance d’éclater. Donc la guerre du golf a marqué beaucoup les esprits pour sa médiatisation, sa haute “technologie” et surtout sa performance a entretenir la paix même au moyen orient avec une coalition international qui a bien marché résultat à la fin de cette guerre à une paix et une défaite de l’Irak.









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Et sur le côté de Clausewitz, La guerre respect en principe ses notions, la guerre du golf est en principal interétatique d’un coté l’Irak, et de l’autre le Koweit, il y a aussi cette aspect de continuation de la politique par d’autres moyens, où ici Sadam va utiliser cette guerre comme un outil politique, en essayant ainsi de prendre le Koweit en territoire. Nous avons aussi des armées nationaux et deux états qui se font la guerre, on a au vu du schéma de clausewitz une guerre réelle, bien qu’elle aurait pu être absolue quand Sadam a tenté de fabriquer des armes nucléaire. Bonus, extrait de “la guerre du golfe et le droit international” de Maurice Flory









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Chapitre 2

La Guerre israélo-arabe I 1948-1949





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Code couleurs de ce chapitre : Noir : texte normal Orange : Guerre de 6 jours Vert : Guerre de Kippour Beige sable :Conséquence Humaines Bleu azur : Conséquence Politique Violet : Conséquence économique

















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967 Israel à déclaré la guerre à ses pays voisins arabes la guerre des “6 jours”.

1967 : Gamal Abdel Nasser président de l’Égypte veut après la défaite contre l’alliance anglaise israélienne veut en découdre et se venger, il est alors réarmé par l’union soviétique il pense à vaincre sans dif culté Israel, mais pour en être sûr il veut s’allier avec des pays arabes comme la Jordanie et la Syrie par exemple. Sur le papier la Syrie et l’Égypte ont plus d’homme et de matériaux. La Syrie et l’Égypte mettent la pression sur les frontière israélienne. 7 mai 1967 : Nasser exige à l’ONU de retirer ses forces d’interposition. L’ONU accepte le retrait des casques bleu pour laisser les deux ennemies face à face. 23 mai 1967 : Nasser fait un blocus du port d’Eilat sur le canal de Tiran évitant toute approvisionnement pétrolier à Israel par exemple indispensable à son économie. Naser à une optique panarabe, il augmente la pression sur Israel, se rapproche de la Syrie comme allié. Israel fait appel à la Grande Bretagne, la France, et les USA. En effet ces grandes puissances avaient promis à Israel de les protéger, mais aucune d’entres elles ne parviennent à résoudre ce problème. Don Israel naturellement se crispe. Nasser envoie de plus en plus de personnes à la frontière, Israel voit une guerre arrivé pour crever l’apsé, et se prépare tant bien que même. 30 mai 1967: un traité d’assistance militaire signé entre l’Egypte et la Jordanie se fait. l’Irak le Koweit, ou le soudant commence à mobiliser des troupes. Israel se prépare aussi de son coté. l’Égypte à de bons avions soviétiques prêt à intervenir. Comme le MIG 21 assez moderne pour l’époque. Israel







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quand à elle ne possède pas de bombarder comme l’Égypte mais à tant bien que même des avions de chasses récent de conception françaises. Cotés blindé les arabes ont aussi eux de bons comme le Char T34 ou T55 soviétique encore. Mais la plus grande Fierté de Nasser et la 4ème division égyptienne qui regroupe environs 200 chars. Les Israéliens possède du français, mais leurs einfrantris des pays arabes sont vraiment nombreux. Du coté d’israël leurs soldat sont plus des réservistes que des professionnels mais leurs motivations et énorme, mais pareils de la coalitions arabes. Israel décide d’attaquer par surprise malgré toutes les tentatives diplomatiques. La guerre des 6 jours commence.

La guerre des 6 jours Le 5 juin 1967 à 7H45 l’aviation Israélienne attaque à Sinaï les égyptiens par surprise pour détruire l’aviation Egyptienne. Cette stratégie portera ces fruits ils détruiront 309 sur les 349 de l’aviation Egyptienne. 95% sont alors détruits.

MOSHe donne l’ordre d’attaquer les troupes terrestres arabes le 3 juin 1967 en quelques heures ils arrivent à perser











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les arabes et se dirigent vers le canal de Suez. Les arabes partent en désordre incapable d’arrêter les Israéliens. 6 juin 1967: les Israéliens ne sont plus qu’à 40 km du canal de Suez et l’atteignent le lendemain. Le blocus est levé, le Sinaï est entièrement conquis Nasser à perdu au Sud. Mais du coté du nord avec les Syriens le 5 au 9 juins 1967, les combats se font à distances, les syriens étaient géographiquement avantagé donc les Israéliens décident de conquérir les hauteurs stratégiques des syriens en moins de 24h les Israéliens gagnent contre les syriens. Le 10 juin soit le lendemain, les USA et l’URSS imposent au nord un cessé le feux car Israel et allié avec les USA et les Syriens avec les Soviétique. Israël a quand même gagné. La Jordanie déclare la guerre à Israel et bombarde une partie de Jérusalem, Moshe au vue de la victoire au sud ne s’attendait pas à cette attaque et décide de renvoyer une partie de ses troupes à Jérusalem. Des parachutistes débarqueront depuis le ciel à Jérusalem le soir du 5 juin 1967, après deux jours de lourd combat, Jérusalem est est conquise.

Le 7 juin 1967 malgré la prise de Jérusalem est le cessez le feu jordanien est fait















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Un groupe de parachutistes s'émerveille au mont du Temple le 7 juin 1967 pendant la Guerre des Six Jours

Et le lendemain le 8 juin 1967 les égyptiens annoncent aussi un cessez le feu Et le 10 juin 1967 les Etats Unis et l’Urss Impose un cessez le feu entres l’Israel et les Syriens, malgré que les israéliens campes sur les territoires conquis. Les Israéliens avaient une capacités aéronautique très très ef caces.

Les conséquences de la guerre des 6 jours La durée des opération Israéliennes s’est faite du 5 au 10 juin 1967 soit 5 jours et permettant ainsi de dé nir l’israël qu’on connait aujourd’hui. Israel est passé de 20 000 à 88 000 mètre carrée quadruplant ainsi son territoire, Jérusalem est réuni é. Malgré les 1000 mort Israéliens.

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Du coté arabe les pertes humaines sont à 20 000 Égyptiens, 6000 Jordaniens, et 500 Syriens sont mort. Cette guerre a traumatisé beaucoup d’Egyptiens. À peine sortie de cette guerre, les pays arabes souhaitent une revanche. L’avant Guerre de Kippour de 1973

La situation géographique du proche orient est de nouveaux tendu En Mars 1968 les affrontements entre Israel et jordaniens se font Puis en Juin 1968 La Syrie attaque des cibles israéliennes du Sud du Golan Et Fin octobre 1968 des soldats israéliens sont déportés sur des cibles stratégiques en Egypte, malgré tout les pays arabes restent soudés et se rapprochent et résistent ensemble créant la nouvelle coalition arabe. Entre la guerre de 73 et de 6 jours se déroulera donc la guerre d’usure. Les américains demandent un cessé le feu aux israéliens la guerre est évité de justesse. En 1972 l’Union des République Arabes (URA) voit Alors le jour entres la Syrie,Jordanie, et l’Égypte.



















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22 novembre 1967 : Adoption de la résolution 242 demande à Israël de laisser récupérer les arabes leurs anciens territoires et le respect des frontière, et respecter les politiques environnantes. Cette résolution va essayé d’aider au maximum les négociation pour la paix au moyen orient.

Malgré tout les arabes veulent leurs guerre et vont utiliser la stratégies qui a eu raison d’eux en 67 l’effet de surprise. Ils vont s’entrainer face à des Israéliens beaucoup trop con ant. Les soviétiques vont aider les arabes niveaux équipement. Les Egyptiens, et syriens ont beaucoup d’hommes avec l’aide des autres pays comme le Maroc ou l’Algérie. Les Israéliens ont malgré tout un équipement à la pointe de la technologie surtout au niveau de l’aéronautique. Plus de 30000 hommes seront présent, et vont mettre en place la ligne de Bar Lev équipé de 30 points d’appuie forti é. Causes pour que la guerre de Kippour se produise: revanche sans la destruction des israéliens (impossible du à la communauté internationales) Sadat dit qu’il pourrait faire la paix avec les Israéliens, mais avant cela il voulait gagné une bataille pour au moins montrer que le peuple arabe n’est pas inférieur.









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octobre

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Le Lundi 6 octobre 1973 en pleins Chabat, le début de la guerre du Kippour commence. Les égyptiens et Syriens lancent leurs offensives, les israéliens étaient pas prêt, l’aviation israélienne va être à mal à cause des technologies soviétique fourni aux égyptiens et cette otte ne sera donc pas autant présente qu’en 67.

Le 6 octobre 1973 à 14h20 : les franchissement de la ligne pourpre par les armées syriennes font tire entres Israël et la Syrie. Au Kippour les israéliens devront rappeler les réserves et devront répondre à l’attaque contrairement à 67 où ils avaient le temps avec eux.







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La Guerre de Kippour

Le 6 octobre toujours, les israéliens sont bousculer par ce qui se passe, en effet ils pensaient que le canal de Suez était infranchissable avec de nombreuses dunes de sables, mais à leurs stupeurs les Egyptiens on réussi à trouver une solution en utilisant des jets d’eau à forte pression pour pouvoir traverser avec des ponts. À 18h00 près de 30 000 ont réussi à traverser, le premier pont égyptiens à travers le canal est maintenant opérationnel.







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otte aéronautique Israéliennes et des RPG égyptiens vont mettre à mal leurs tanks. Au soir du 7 octobre 1973 au coté nord, les Israéliens arrivent in extrémis à se ressaisir avant que les syriens aient l’occasion d’attaquer en pleins coeur du pays. Mais malgès tout en 24h les syriens ont marqués tous leurs objectifs, en ayant par exemple de nouveau le plateau du Golan, mais après il y a eu une erreur tactique de la part des syriens qui décidèrent d’arrêter la percé en attendant une annonce de cessé le feu, donnant une occasion pour les israéliens de monter une contre offensive. Le 8 octobre 1973 : les Israéliens force les syriens à faire demi tour et le 11 octobre, les armés israéliennes foncent et arrivent à 30 km De la capital Syrienne, avec de nombreux combats entres les deux camps. Le 11 octobres 1973, les alliés israéliens font pencher la balance, en deux jours les importantes pertes change de camps

Des troupes israéliennes tirent un canon depuis une position sur le plateau du Golan pendant la guerre de Kippour, le 11 octobre 1973.









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Les missiles soviétique anti aériens vont mettre à mal la

LE 15 octobre 1973, les israéliens arrivent à repousser les égyptiens vers le canal, c’est alors que les combats se font sur les terres égyptienne. Le 22 octobre 1973, la troisième armée égyptienne est encerclé grâce à une bonne stratégie israélienne réussissant à berner les égyptiens. 22-23 octobre 1973: Les résolutions 339 et 340 de l’ONU demande l’arrêt des combats, c’est ainsi que le 24 octobre 1973 la guerre est arrêté, elle a alors durée 18 jours.









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La Première ministre Golda Meir et le ministre de la Défense Moshe Dayan rencontrant des troupes sur le plateau du Golan, le 21 novembre 1973.


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Conséquence de la guerre de Kippour -Sur le plan Humain : Arabes: de leurs cotés, les pertes sont d’environ 9000 morts ce qui est beaucoup moins que d’habitude. Malgrès la défaites les arabes ont regagné leurs dignité, et les armées israéliennes ne les sous estimera plus. Israël: des milliers de blessés et plus de 3000 morts de toutes les guerre israélo arabe, celle ci est la plus meurtrière.

Un mémorial érigé par l’AACI et par le KKL-JNF aux soldats tombés au combat pendant la guerre de Yom Kippour, dans le parc Yitzhak Rabin.











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Suite à cette guerre, un nouvel exode palestinien commence, n’ayant plus de territoire, ils se réfugient au sud du Liban et en Jordanie. En 1969 Yasser Arafat tente de trouver des soutiens pour régler ce problème et créer un état palestinien. Il effectuera de nombreux attentats, suite à ça Israel met la pression à la Jordanie pour virer les palestiniens. C’est ainsi que commence en Septembre 1970, le “Septembre noir” opposant les Jordaniens, et les Palestiniens. Cet événement aura pour conséquence pour les Palestiniens de fuir la Jordanie direction le sud du Liban.

Des fedayins palestiniens dans une embuscade dans la capitale jordanienne Amman, le 17 septembre 1970, lors des combats de Septembre Noir.











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Cet événement aura pour conséquence pour les Palestiniens de fuir la Jordanie direction le sud du Liban.

des forces d’interposition de l’ONU sont déployer au Sinaï après la guerre.

En pleine guerre le 17 octobre 1973, l’OPPEP (organisation des pays arabes exportateurs de pétrole) décide de diminuer le prix de ses exportations, mais après les combats elle les réaugmente donnant des dif cultés économique aux pays industrialisés, c’est alors le premier choc pétrolier.







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En décembre 1973 débute la conférence pour la paix de Genève, à partir de ça Israel pense alors qu’elle n’est plus menacé en terme de paix. Après la guerre de Kippour. Le terrorisme devient alors un moyen de communication, peut de temps après l’ONU déclare un état Palestinien.

Partie 2 : Les con its Israélo-arabe, la

n du panarabisme et

mettre en place un islamisme plus radical




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Révolution islamique en Iran I 1978-1979



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Chapitre 3

Khomeyni a vécu 14 ans en Iran dans la ville de Najaf, ville sainte du Chiisme. C’est alors que va s’installer un combat entre lui et le Chah qui a un pouvoir fondé sur les soutiens des américains, c’est d’ailleurs grâce à eux qui retrouvera le pourvoir en 1953 avec un coup d’état. Le Chah a pour but avec la fortune qu’il a acquérir grâce au pétrole, il veut moderniser l’Iran en prenant comme exemple l’occident. C’est d’ailleurs lui qui parlera pour la première fois de “révolution” pour l’Iran, il veut faire une révolution blanche, avec deux réformes importantes:

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Une réforme agraire, pénalisant le clergé chiite

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Une réforme sur l’égalité des droits civiques pour les femmes, heurtant une grande majorité traditionaliste d’une communauté musulmanes.

En 1967, le Chah d'Iran prend le titre d'empereur.









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archéologique, il organise des festivités somptueuses aux yeux du monde, plus de 25millions de dollars sont investis pour cet évènement. Il cherche ainsi aux yeux du monde à conforter sa légitimité royal, car il souffrait d’une absence de légitimité dynastique. Mais à l’échelle national cette évènement n’est pas bien accueillie par la critique.

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Du 12 au 16 novembre 1971 : le Chah décide sur le cite

Au ls du temps, Khomeyni incarne de plus en plus, l’opposition face au Shah, les discours radicaux de Khomeyni commence à in uer de plus en plus d’Iraniens, notamment ceux qui sont victimes de famine et d’inégalité.Le Shah veut alors discréditer son adversaire. En Janvier 1978 il publie un article injurieux ou Khomeyni est traité d’homosexuelle, et de sa contestation envers son identité Iranienne. C’est à partir de ce moment là que va se créer le mouvement révolutionnaire qui va provoquer la chute de la monarchie.

1978: Les premiers mouvements révolutionnaires

Deux évènement se produisent en été, l’incendie du cinéma faisant plus de 400 mort, et la manifestation dans le centre de jalé, sont pour Khomeyni des outils d’argumentation pour renforcer son opposition au Shah, il va demander de l’aide alors à Sadam.









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Khomeini En France 🇫🇷 Khomeini voit en Paris un lieu parfait pour communiquer au monde et au peuple Iranien, mais il est un peu retissant face à la décadence moral de l’occident. Malgré tout personne le prenait au sérieux en terme de menace. 6 octobre 1978: Khomeini arrive à Paris donnant son passeport comme tout voyageur normaux, mais a un nom d’emprunt. Il sera alors entouré d’intellectuel ayant eu l’atout d’avoir fait leurs études en occident et qui seront utile quant à la stratégie de Khomeyni, Dont Abolhassan Bani Sadr, Sadegh Ghotbzadeh, et en n Ibrahim Yazdi. Agée tous les 3 de 45 ans ce sont des laïc progressiste mais aussi de fervent musulmans.

Khomeini & Sadegh Dans l’avion Air France

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Quelques heures après une foule d’Iraniens venu d’Europe sont venu pour tenter de rendre visite à Khomeini, malgré que les autorités française ne soient au courant de cette attroupement massif. En Iran des centaines de gens viennent devant l’ambassade française remercier les diplomates français d’avoir accueilli Khomeini en france.

le 10 octobre 1978: Khomeini quitte cachant pour s’installer à Neauphle le Château, c’est là que tout va se passer. Chaque jour à l’heure de la prière, il quitte sa maison pour aller au jardin d’en face pour prier, et des entretiens avec des visiteurs, les dèles af uent de plus en plus vers cette petites villes si paisible de d’habitude. Il y avait aussi beaucoup de dons d’argents, des sacs remplis de billets.

Khomeini en France en 1978 à Neauphle-le-Château en conférence de presse



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L'organisation stratégique de la Troïka autour de Khomeyni Donc Khomeini à toute l’attention nécessaire, et il dispose de ses trois soutiens (évoqué tout à l’heure), pour se répartir les fonctions, comme le contenues politiques, la gestion des médias occidentaux et extérieur, et l’endoctrinement, et la mobilisation des iraniens. Claire Brière sera la première journaliste à pour s’entretenir avec Khomeini, son aspect vulnérable, et simple et une stratégie, il n’est pas dans le luxe. Pour combattre le shah, Khomeini utilise la religion pour crédibiliser ses penser. Le shah en a marre de tout cet angoument de Khomeini en Europe, et décide d’appeler le Président Français,Valérie Giscard d’Estaing. Il souhaite que Khomeini en tant que réfugier doit respecter ses devoirs de réserve politique. Alors une équipe du quai d’Orsay va voir Khomeini et demande d’arrêter. Quelques jours après, ils reçoivent un appel de la présidence de la république, comme quoi malgré leurs passage Khomeini continue mais en pire. La stratégie de Khomeini a pour but de viser l’Iran mais aussi l’Occident, il cherche à endoctriner les Iraniens et de rassurer l’opinion public d’Occident. Il souhaite enregistrer ses discours sous formes de cassette et les revendre partout. La révolution Iranienne a ainsi son guide. Pour Khomeini l’islam est la solution, et veulent ainsi liquider le Chah. Khomeini va se diriger alors vers des intellectuelles occidentaux, et ça marche leurs nouvelles missions sera comme avec l’ambition de Khomeini, destituer le Shah. Jean Paul Sartre et Michel Foucault d’ailleurs soutiendra Khomeini. Michel Foucault appèlera le combat de Khomeini, “spiritualité politique”à travers la presse.

















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La presse française et du monde entier trépigne devant la maison de Khomeini, certain restaient 5h devant. Il répondait aux hommes et non aux femmes, il peut donner des discours pour satisfaire les journalistes du monde comme la liberté des femmes. Khomeini incarne pour les iraniens (quand il reviendra) un espoir de justice et liberté.





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millions d’iraniens se rassemble dans les rues pour protester contre le Shah, lui vouloir sa mort, et donner les pouvoirs à Khomeini.

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Le 12 décembre 1978, la fête de la shoura plus de deux

Beaucoup penseront que l’Occident a sous estimé la capacité du peuple Iraniens, à renverser le régime. Le président Français s’inquiète que de maintenant de l’in uence de Khomeini, il décide donc tout naturellement d’envoyer ses hommes en Iran aux cotés du Shah. Les français comprennent alors (contrairement des Américains) que quelque chose se passe d’important et de profond en Iran, et que le Shah et en mauvaise posture.

Les Américains continueront à soutenir le Shah notamment à cause du contexte de guerre froide, pour eux un Iran non stable n’est pas admissible, le Shah sont à leurs yeux un rempart contre Les soviétiques.

Le président John F. Kennedy rencontre Mohammad Reza Pahlavi, dans la salle du Cabinet de la Maison Blanche, Washington, D.C, en 1962





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C’est alors que Le président français va se rapprocher de Khomeini pour essayer de voir un peu les conditions au cas où il prend les pouvoirs en Iran. C’est alors qu’on va appeler Sadegh Ghotbzadeh au quai d’Orsay pour lui demander d’expliquer ce que Khomeini veut faire si il y a le pouvoir et là il énoncera son discours sous trois parties : -L’historique -la situation actuelle -les perspectives à venir Tout en utilisant un plutôt bon français. 5 au 7 janvier 1979: C’est alors que le sommet de la Guadeloupe met en avant la vision d’un Iran sans le Chah au pourvoir. Le Shah est malade, il a le cancer ses jours sont compté, ce qui pourrait convaincre les pays occidentaux de ne plus soutenir le Chah, dont les Etats Unis qui étaient proches de lui, mais ils ne soutiendront pas forcement Khomeini mais plutôt Bakhtiar, dirigeant reconnu. Mais le peuple Iraniens ne veut pas de Bakhtiar mais Khomeini.















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De nouveaux représentant religieux viennent rendre visite à Khomeini pour bâtir ce régime religieux. Toutes les choses s’accélères, Khomeini demande à des journalistes, et des Iraniens de venir avec lui dans l’avion retour pour éviter toutes attentats. C’est alors que Airfrance leurs a donné un avions pour le retour. Une foule Iraniens l’attend à son arrivé.

C’est à bord d’un Boeing 747 d’Air France, que l’Ayatollah Khomeiny est revenu en Iran, le 1er février 1979, après 15 ans d’exil en France.





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Malgré la mise en place du régime religieux, beaucoup de proches de Khomeini ont été écarté comme Sadegh Ghotbzadeh qui fut exécuté en 1982 pour avoir “comploté” contre le régime, Bani Sadr a été écarté et donc il a vécu à Versailles jusqu’à sa mort,et Ibrahim Yazdi était en prison avant de mourrir.

Sadegh Ghotbzadeh durant son procès en Août ou Septembre 1982

Le 4 novembre 1979, neuf mois après le début de la révolution islamique, 400 étudiants iraniens prennent d’assaut l’ambassade des Etats-Unis à Téhéran et retiennent en otages des diplomates et employés pendant 444 jours.







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En n Pour Finir Khomeini meurt en 1989, son régime est toujours en place, et la maison auquel il y habitait en france est désormais un lieu de pèlerinage pour les Chiites ainsi que son ancienne maison dans sa ville natale transformé en musée.

Mais celle-ci a été incendier volontairement en 2022 deux mois après le début du mouvement de protestation contre le régime.





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Partie 2 : Les con its




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Chapitre 4: Le conflit Israélo-Palestiniens I Depuis 1948





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Partie 1 I A l’Histoire de la formation de l’état d’Israël





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Déclaration de Lord Balfour 1917: laisse sous entendre un état national juif grâce aux anglais et français, les pays arabes protestes directement en leurs proposants de partir ailleurs, même Hitler ira les proposer de se placer à Madagascar. Suite aux persécutions envers les juifs vers le 19-20eme siècle, née un mouvement juif, Le sionisme.Ce mouvement nationaliste sera la cause de la création de l’état israéliens, ils veulent avoir des terres pour les juifs du monde entier, et de préférence en Israël, d’où l’étymologie du mot “sionisme”, le “sio” est en effet une montagne qui entoure Jérusalem. Ils s’opposent ainsi aux juifs orthodoxe.

Le Mont Sion entourant Jerusalem

C’est Le livre de Theodor Herzl “l’état des juifs” qui va dé nitivement lancer ce mouvement Sioniste, il parle d’un foyer pour les juifs mais en terre sainte.









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En 1929 se créer L’agence Juifs qui a pour but d’accumuler de l’argent pour ensuite acheter des Terres, en Palestine pour accueillir le futur peuple. Dans les années 30 les juifs partaient en Palestine pour camper en terre sainte, l’immigration juive en Palestine n’as cessé d’augmenter, et Au cours des années 20 et 30 un mouvement “l’état en marche” est un petit état qui se créer au cours duquel seul les immigrés juif y sont présent donc très communautaire, avec leurs cultures, langue ect. la manifestation d’Avril 1936 est du aux Arabes qui protestèrent contre la présence des juifs sur leurs sols. Ensuite se créer Le Irgoun, qui est une organisation représentant une extrême droite sioniste beaucoup plus violente destiné aux anglais, et aussi envers les arabes à travers divers attentat. 1939 mais à la suite de la monté de l’antisémitisme, les juifs sentent qu’ils doivent s’exiler comme avec le livret blanc anglais qui limitais l’immigration juifs. Mais La Haganah voit aussi le jour en 1941 pour défendre les troupes juifs immigrants en terre saintes.

En 1942 les Juifs combattent aux cotes des anglais espérants de leurs parts, un boost pour la création d’un état Juifs en terre sainte. Il y a un combats essentiellement diplomatique, qui se lance alors entres 1945-1947 entres les juifs palestiniens, et les Britanniques.

Mais les Britannique font aussi attention envers les arabes pour éviter un mauvais deal avec eux au niveau du pétrole.













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Après la guerre en 1947 La grande Bretagne annonce la n de son mandat avec la Palestine, et peu de temps après le 29 novembre 1947 l’ONU, la résolution 181 annonce un accord de partage de terre entre les juifs et les Palestiniens, grâce par exemple au nouveau président américain qui sera pour la création d’un état juif (Contrairement à son prédécesseur Roosevelt),mais aussi grâce à la france qui avec une grosse hésitation votera en faveur. Au total 33 pays voteront pour,10 s’abstiennent, et 13 votes contre.



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👍 En faveur : 33 Australie, Belgique, Bolivie, Brésil, République socialiste soviétique de Biélorussie, Canada, Costa Rica, Tchécoslovaquie, Danemark, République Dominicaine, Equateur, France, Guatemala, Haïti, Islande, Liberia, Luxembourg, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Nicaragua, Norvège, Panama, Paraguay, Pérou, Philippines, Pologne, Suède, République socialiste soviétique d’Ukraine, Union d’Afrique du Sud, Etats-Unis d’Amérique, U.R.S.S., Uruguay, Venezuela. 👎 Contre : 13 Afghanistan, Cuba, Egypte, Grèce, Inde, Iran, Irak, Liban, Pakistan, Arabie Saoudite, Syrie, Turquie, Yémen. Abstentions : 10 Argentine, Chili, Chine, Colombie, El Salvador, Ethiopie, Honduras, Mexique, Royaume-Uni, Yougoslavie.

Mais à noté que la Shoah qui exterminera beaucoup du peuple juifs d’Europe, sera compliqué pour l’État Juifs qui voit une partie de sa futur population disparaitre.

C’est ainsi que le problème Israélo-palestinien est née. À la mise en place du plan de partage des territoires, les tension montent, et une guerre civile se créer entres les Palestiniens et les Israéliens. 9 Avril 1948 interviens Le Massacre de Deir Yassin, qui fait 250 morts dans ce pays arabes. Les victoires Israélienne va créer Chez les palestiniens une peur, c’est le début de la Naqba (catastrophe), un exode va alors s’installer, du au nouvel état Israéliens. Mais bientôt cette guerre civile va avoir une plus grande envergure.
























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Partie B Guerre Israélo-Arabe I1948-1949





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3 mai 1948 : La Ligue Arabe déclare en n la guerre à Israël, l’egypte et le leader. 14 mai 1948: Déclaration d’indépendance de l’état d’Israel, après 2000 ans d’éclipse.

15 Mai 1948: à lieux la proclamation de Ben Gourion, ordonnant la coalition arabe à attaquer Israël sur 3 front. Guerre: les Arabes sont supérieur en terme de nombres comparé aux Israéliens, la légion arabe Jordanien composé de 10 000 Hommes fait terreur, les Israéliens manquent niveaux matériels.





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Le 16 mai 1948 la légion arabe de Transjordanie attaque Jérusalem, les combat violent pendant plus d’un mois, mais la détermination juifs qui n’ont rien à perdre (comparé aux arabes), leurs font tenir bon.

16 Juin 1948: Le premier Armistice Israélo-arabe est signe en initiative de L’ONU, et prépare ses équipements, elle aura raison car le 9 juillet 1948 le con it reprend, le fameux Moshe Dayan réussi à résister la légion arabes, la coalition devient dif cile, et les Israéliens permettent de faire renverser la situation. 16 Juillet 1948: demande le cessez le feu de L’ONU 3 Septembre 1958: trêve signer Israel 14 Octobre 1948: Reprise de l’offensive Israélienne sécurisant la mer rouge.

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12 Janvier 1949: tentative de blocus des ports Israéliens, et les combats reprennent au Sinaï et à la partie juive de Jerusalem. 24 février 1949: Armistice Israélo-égyptien est signé 23 Mars 1949: Armistice Israémo-Libanais est signé Armistice Israélo-transjordanien est signé 13 Avril 1949: Armistice Israélo-Syrien est signé La Guerre est signé Israel à gagné montrant que la volonté des soldats peut primer sur la supériorité numérique.













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#Même code couleur de conséquence que le chapitre 2

Conséquence : Humains 6000 morts Israéliens et 15 morts niveaux arabes. Des territoires palestiniens ont été réquisitionné par l’armée Israéliennes. L’exode des palestiniens est la conséquence direct du refus premier des palestiniens à partager leurs terres avant la guerre. Cependant les 7000000 de palestiniens d’aujourd’hui reveulent avoir leurs terres prise en 1949. Politique Israël et reconnu par la majorité des pays, le 11 mai 1949 est admis à siégé à L’ONU et le 15 Mai 1949 le parlement Israéliens autorise l’immigration des juifs en Europe

Israel est en n totalement indépendant.

Ettel Schaffran avec des membres de sa famille sur le balcon de son appartement du 23 novembre en 1949.











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Partie B Le conflit Israélo-Palestiniens De 48 à Aujourd’hui







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Après la guerre de Kippour et des 6 jours vu en chapitre 2, l'OLP se lance dans la lutte armée, avec prises d'otages et détournements d'avions, pour faire connaître son combat et alerter le monde sur le sort des Palestiniens. Cette stratégie nuit à l'image de l'OLP. En plus des actions à l'international, l'OLP se lance aussi dans une guérilla contre Israël à partir du sud Liban, harcelant les zones proches de la frontière par des raids. - Pour faire cesser les intrusions de combattants de l'OLP, Israël envahit le Liban en 1982. Son armée rentre dans Beyrouth pour y déloger les combattants palestiniens et occupera le terrain pendant les trois années à venir. Les combats sont marqués par le massacre de Sabra et Chatila, deux camps de réfugiés où des civils palestiniens sont tués par des milices chrétiennes libanaises sans que l'armée israélienne n'intervienne. L'opinion internationale est scandalisée et le ministre de la Défense de l'époque, futur Premier ministre, est contraint de démissionner. - Par la suite, l'OLP change de stratégie et abandonne la lutte armée, qui est reprise par les extrémistes palestiniens islamistes qui font leur apparition sous le nom du Hamas. La révolte des Palestiniens prend alors une autre forme et on assiste à la première « Intifada », la « guerre des pierres », en 1987. Cette première intifada est une révolte civile, un affrontement asymétrique entre des jeunes armés de pierres ou de cocktails Molotov, et des chars israéliens.

















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Dans les années 1990, on pense le conflit proche d'une issue. Sous la présidence américaine du républicain George Bush, Israël et les Palestiniens acceptent de reprendre le dialogue. De son côté, l'OLP accepte le partage de la Palestine en deux États et reconnait donc officiellement l'État d'Israël. Israël reconnait qu'il faut un État palestinien. Ces négociations se concrétisent par les accords d'Oslo en 1993, dont la déclaration de principe est signée à Washington par le Premier ministre israélien Yitzhak Rabin et le président de l'autorité palestinienne Yasser Arafat, sous l'égide du président américain, le démocrate Bill Clinton. - Arafat et Rabin recevront d'ailleurs le prix Nobel de la paix pour ces accords. La poignée de main entre Rabin et Arafat a relancé l'espoir d'une paix durable dans la région. Mais l'assassinat de Rabin en 1994 par des extrémistes juifs remet en cause ces accords et la Palestine replonge dans la violence.

-Du côté palestinien, les extrémistes islamistes du Hamas prennent le contrôle de la bande de Gaza, cette petite bande de terre qui court le long de la mer Méditerranée, entre Israël et l'Egypte. Ils sont partisans d'une ligne dure, de la confrontation directe et violente avec les Israéliens. L'assassinat est suivi d'une série d'attentats













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Les Israéliens, quant à eux, vont poursuivre la colonisation sur le futur territoire palestinien. Une nouvelle Intifada se déclenche, elle durera de nombreuses années et fera de nombreuses victimes, de part et d’autres.

Le con it à l'heure actuelle

Le conflit n'a toujours pas trouvé d'issue à l'heure actuelle. Israël poursuit sa politique de colonisation, c'est-à-dire qu'il y a des constructions israéliennes en terre palestinienne, et les militants du Hamas font encore preuve de violence dans le cadre de la lutte armée.









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terroristes palestiniens sur les populations israéliennes.

Les colonisations israéliennes en terre palestinienne apparaissent clairement sur cette carte. Dénoncées comme illégales par les autorités palestiniennes, elles ferment, pour eux, la porte à toute négociation. Autre point de friction : le mur de plus de 800 kilomètres qui sépare l'Etat d'Israël des territoires palestiniens, construit dans un but de sécurité. Les attentats suicides ont fait de nombreuses victimes israéliennes et ont durci les positions des uns et des autres.

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On assiste ainsi à une radicalisation du conflit.

Le mur a été construit illégalement sur les terres d'un hypothétique futur Etat palestinien. Israël est donc condamnée par l'ONU, mais les Etats-Unis utilisent leur droit de véto au Conseil de sécurité pour limiter les sanctions à l'encontre d'Israël.







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La paix est d'autant plus éloignée que les Palestiniens ne sont pas tous unis dans la protestation. - Le Hamas, organisation militante armée, a gagné les élections dans la bande de Gaza en 2007, alors que le Fatah, héritier de Yasser Arafat et jusque-là majoritaire, s'oppose à sa politique. En réponse à la montée en puissance du Hamas, l'armée israélienne lance fin 2008 l'opération « Plomb durci », qui vise à le soumettre par la force. Les très nombreuses pertes civiles palestiniennes, et le blocus des populations qui s'en suit ont un impact majeur sur l'opinion internationale qui condamne majoritairement l'emploi de la violence. Du côté diplomatique, l'autorité palestinienne se lance dans une bataille juridique auprès des institutions internationales pour être reconnue comme État à part entière. Première victoire de taille, l'ONU accorde un statut d'« État observateur » aux palestiniens en 2012.















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