7:+JEIIB=\[^XWw.2. Fallara. Ginesa Ortega. Josep Pons. Manuel de Falla : La Meunière et le Corregidor

7:+JEIIB=\[^XWw.2 rca (1899-1936) Federico Garcia Lo olas antiguas Canciones espasñes pagnoles Chansons ancienne Fallara Manuel de Falla (1876 -

3 downloads 11 Views 2MB Size

Story Transcript

7:+JEIIB=\[^XWw.2

rca (1899-1936)

Federico Garcia Lo

olas antiguas Canciones espasñes pagnoles Chansons ancienne

Fallara

Manuel de Falla (1876

-1946)

molinera El corregidor yCla orregidor

El corregidor y la moline

Lorca Garcia las antiguas

La Meunière et le

Canciones españo

Ginesa Ortega Teatre Lliure Josep Pons

nt pas, il Théâtre Lliure n’existaie “Si Josep Pons et le Télérama faudrait les inventer.” s déj à uab les enr egi str em ent “Ap rès deu x rem arq la fois, à , qui voici un troisième consacrés à Falla, en e un firm con et es iell essent révèle deux par titions on pas Dia .” lité de la plus belle qua ensemble d’interprètes

Orquestra de Cambra

HMA 1951520

Manuel de Falla : La Meunière et le Corregidor C’est en 1904 que Falla prit connaissance pour la première fois du Tricorne d’Alarcón, alors qu’il cherchait avec son librettiste Carlos Fernández Shaw un sujet pour un opéra en un acte lors d’un concours de l’Académie des Beaux-Arts de San Fernando. Les deux sujets respectifs, celui du Tricorne et celui de Francesca Rimini, inspiré d’un épisode de La Divine Comédie de Dante, furent écartés momentanément. La chance se montra plus favorable pour La Vie brève. Après plusieurs collaborations avec les époux Martinez Sierra, qui allaient aboutir en 1915 à L’Amour sorcier, surgirent d’autres projets : en 1916, ils décident d’écrire une pantomime en trois tableaux à partir du récit d’Alarcón. Falla n’a même pas terminé le premier tableau lorsque les Ballets Russes à Madrid lui proposent déjà de transformer la pantomime en ballet, ainsi que Nuits dans les jardins d’Espagne. Ce dernier projet ne peut aboutir. Quant à la farce initiale des meuniers, sur les trois tableaux, il n’en restera finalement que deux, le finale laissant en suspens “la vengeance” du meunier. En décembre 1916, la pantomime est achevée dans sa version chant-piano, l’orchestration reste à faire. Diaghilev veut la mettre en scène tout de suite, mais Falla et les Martinez Sierra préfèrent la monter au théâtre Eslava de Madrid comme ils l’avaient conçue au départ, c’està-dire comme une farce-pantomime. Et c’est sous le titre de La Meunière et le Corregidor (magistrat), qu’elle est effectivement jouée le 7 avril 1917 par un petit orchestre issu de l’Orchestre Philharmonique de Madrid, dirigé par Joaquín Turina et composé des instruments suivants  : flûte piccolo, hautbois, clarinette, basson, cor, trompette, piano et quintette à cordes ainsi qu’un mezzo-soprano pour les chants du coucou. Selon certaines indications de l’époque, les premiers et seconds violons ainsi que les altos et violoncelles jouaient sans doute par deux, ce qui porte à dix-sept le nombre total des musiciens. Réaction habituelle chez Falla (et à plus forte raison lorsqu’il a été question depuis longtemps de transformer cette pantomime en ballet, avant même son achèvement) : après observation minutieuse de ce qui se passait sur la scène du théâtre Eslava, il se remit immédiatement à travailler la partition. Hormis la nouvelle orchestration pour une formation symphonique normale, à partir de la première représentation donnée au théâtre Eslava, l’œuvre connut plusieurs modifications. Par exemple : a) Celles qui découlent de l’observation du comportement théâtral  ; dès les premières représentations, Falla les aurait sans doute faites, même sans projet de ballet. Ces modifications apparaissent surtout dans le premier tableau. b) Celles qui dépendent de la transformation de l’œuvre en ballet : genre qui exige moins de “dialogue musical”, moins de descriptif, moins de naturalisme, plus de sens de la danse. Elles sont plus fréquentes dans le deuxième tableau. C’est donc sous la forme de ballet que l’œuvre fut représentée à Londres au théâtre Alhambra le 22 juillet 1919, sous son nouveau titre Le Tricorne. La chorégraphie était de Massine, les rideaux, décors et costumes de Picasso et la direction musicale confiée à Ernest Ansermet. Le Tricorne apporta à Manuel de Falla la consécration internationale et connut un regain d’intérêt quelques années plus tard avec la première du ballet L’Amour sorcier à Paris en 1925. A l’instar de ce dernier dans sa version folklorique et “gitane”, la farce-pantomime La Meunière et le Corregidor possède suffisamment de qualités musicales pour éveiller ces derniers temps l’intérêt des spécialistes et aussi celui du grand public.

1

Federico Garcia Lorca : Chansons Le rapport de García Lorca à la musique ne peut se résumer à l’étude de sa véritable vocation musicale ni à ses étroites relations avec de nombreux musiciens de l’époque. Son œuvre littéraire a suscité un intérêt musical considérable, surtout après sa mort tragique en 1936. Le professeur Tinnell a dénombré plus de 1200 compositions “savantes” basées sur son œuvre : 80 % de la poésie de Lorca, ajoute-t-il, ont été mis en musique sous diverses formes, sans compter les versions populaires. Tout le monde sait que García Lorca reçut une solide formation musicale et qu’il voulait être musicien. L’intérêt qu’il portait à la musique populaire ainsi que l’étude de la musique classique en tant que pianiste favorisèrent son rapprochement avec un secteur important de la musique espagnole des années 20, en tête duquel se trouvait Don Manuel de Falla. Dès 1922, tous deux organisèrent le fameux concours de Cante Jondo et mirent en plan des projets qui malheureusement n’aboutirent pas. Parmi ceux-ci (les Marionnettes de Cachiporra ou l’opérette Lola la comédienne), on trouve ce curieux mélange de poésie populaire authentique et de poésie savante  ; car tous deux, aussi bien Lorca le poète que Falla le compositeur, suivaient fidèlement les règles du musicologue folkloriste Felipe Pedrell. Le résultat d’une telle collaboration (Les Tréteaux de Maître Pierre, Concerto, etc.) fut monté sur scène assez discrètement, lors des fêtes de Noël que Lorca et Falla organisèrent pour les enfants de la famille dans la maison du poète. On y joua des musiques de Debussy, Fauré, Stravinsky et Albéniz ainsi que de vieilles mélodies espagnoles prises dans le Cancionero de Pedrell. Lorca, quant à lui, en recueillit quelques-unes, se constituant un vrai florilège de chansons qu’il contribua à populariser simplement mais avec efficacité. Antonio Gallego Traduction Claudia Ramírez

2

Canciones españolas antiguas

4 | Las tres hojas Debajo de la hoja de la verbena, tengo a mi amante malo: ¡Jesús, que pena!, debajo de la hoja de la verbena.

1 | Anda, jaleo Yo me subí a un pino verde por ver si lo divisaba, y sólo divisé el polvo del coche que lo llevaba. Anda, jaleo, jaleo ya se acabó el alboroto y vamos al tiroteo. No salgas paloma al campo mira que soy cazador y si te tiro y te mato para mi será el dolor para mi será el quebranto Anda, jaleo, jaleo: ya se acabó el alboroto y vamos al tiroteo. En la calle de los Muros han matado una paloma. Yo cortaré con mis manos las flores de su corona. Anda, jaleo, jaleo: ya se acabó el alboroto y vamos al tiroteo.

Debajo de la hoja de la lechuga, tengo a mi amante malo con calentura, debajo de la hoja de la lechuga. Debajo de la hoja del perejil, tengo a mi amante malo, no puedo ir, debajo de la hoja del perejil. 5 | Romance de Don Boyso Camina Don Boyso mañanita fría a tierra de moros a buscar amiga. Hallóla lavando en la fuente fría. – ¿Qué haces ahí, mora, hija de judía? – Soy una cristiana que aquí estoy cautiva. – Si fueras cristiana yo te llevaría y en paños de seda yo te envolvería, pero si eres mora yo te dejaría. Montóla a caballo por ver qué decía; en las siete legüas no hablara la niña. – Yo soy Rosalinda, que así me pusieron porque al ser nacida una linda rosa n’el pecho tenía. – Pues tú, por las señas, mi hermana serías. Abre la mi madre puertas de alegría, por traerla nuera le traigo su hija.

2 | El café de Chinitas En el café de Chinitas dijo Paquiro a su hermano: – Soy más valente que tú, más torero y más gitano. En el café de Chinitas dijo Paquiro a Frascuelo: – Soy más valiente que tú, más gitano y más torero. 3 | Las morillas de Jaén Tres morillas me enamoran en Jaén: Axa, Fátima i Marién. Tres morillas tan garridas iban a coger olivas, y hallábanlas cogidas en Jaén: Axa, Fátima y Marién. Y hallábanlas cogidas y tornaban desmaídas y las colores perdidas en Jaén: Axa, Fátima y Marién. Tres morillas me enamoran en Jaén: Axa, Fátima y Marién. Tres morillas tan lozanas iban a coger manzanas en Jaén: Axa, Fátima y Marién. Díjeles: –¿Quién sois, señoras, de mi vida robadoras? –Cristianas que éramos moras en Jaén: Axa, Fátima y Marién. Tres morillas me enamoran en Jaén: Axa, Fátima y Marién.

6 | Los reyes de la baraja Si tu mare quiere un rey, la baraja tiene cuatro: rey de oros, rey de copas, rey de espadas, rey de bastos. Corre que te pillo, corre que te alcanzo, mira que te lleno la falda de barro. Del olivo me retiro, del esparto yo me aparto, del sarmiento me arrepiento de haberte querío tanto.

3

7 | Los pelegrinitos

11 | Sevillanas del siglo xviii

Hacia Roma caminan dos pelegrinos, a que los case el Papa, mamita, porque son primos, niña bonita.

¡Viva Sevilla! Llevan las sevillanas en la mantilla un letrero que dice: ¡Viva Sevilla! ¡Viva Triana! ¡Vivan los trianeros, los de Triana! ¡Vivan los sevillanos y sevillanas!

Al pasar por el puente de la Victoria, Tropezó la madrina, mamita, cayó la novia, niña bonita.

¡Que bien pareces! Ay río de Sevilla, ¡qué bien pareces!, lleno de velas blancas y ramas verdes. ¡Viva Sevilla!

Le ha preguntado el Papa que si han pecado. El le dice que un beso, mamita, que ella le ha dado, niña bonita. Y ha respondido el Papa desde su cuarto: ¡Quién fuera pelegrino, mamita, para otro tanto, niña bonita. Las campanas de Roma ya repicaron porque los pelegrinos, mamita, ya se casaron, niña bonita.

El Corregidor y la Molinera Farsa mímica en dos cuadros música de Manuel de Falla, libro de Gregorio Martínez Sierra El argumento de está farsa está inspirado en el viejo romance “El molinero de Arcos” que sirvió a D. Pedro Antonio de Alarcón para su deliciosa novela “El sombrero de tres picos”. Un Molinero vive en su molino en amor y compañía de su esposa la linda Molinera, a quien adora y quien le corresponde a pesar de ser él corcovado y nada hermoso. Un noble señor, Depositario del pósito en el romance, Corregidor en la novela, se enamora de la Molinera y, con engaños, aleja de noche al esposo para poder lograr satisfacción de su pecaminoso deseo. La trampa del enamorado y la venganza del marido que, ofendido, quieren vengar su agravio agraviando a su vez al ofensor, forman el asunto del romance, en el cual todos los malos propósitos se logran, y de la novela, en la cual el agudo ingenio de Alarcón los frustra todos y hace triunfar la moral sin quitar al asunto nada de su graciosa picardía. Los autores de esta farsa mímíca han seguido más de cerca la versión de Alarcón que la del viejo y desenfadado romance y han dispuesto el asunto en dos cuadros.

8 | Zorongo Tengo los ojos azules y el corazoncillo igual que la cresta de la lumbre. De noche me salgo al patio y me harto de llorar de ver que te quiero tanto y tú no me quieres ná. Este gitano está loco, pero loquito de atar, que lo que sueña de noche quiere que sea verdad. 9 | Los cuatro muleros

Cuadro 1° 12 | [1. El mirlo] El molinero y la molinera, felices en su amor y en su molino, trabajan, rien, danzan, enseñan a cantar las horas a un mirlo, el cual, desdeñando las lecciones del Molinero, aprovecha rápidamente las de su linda consorte: el mirlo es sin duda mirlo feminista.

De los cuatro muleros, mamita mía, que van al agua, el de la mula torda, mamita mía, me roba el alma. A qué buscas la lumbre, mamita mía, la calle arriba, si de tu cara sale, mamita mía, la brasa viva.

13 | [2. Los celos] Todos los hombres que pasan piropean a la Molinera con gran complacencia del marido, que no es celoso. A todas las mozas que pasan las piropea el Molinero con gran enfado de su señora esposa, que es celosísima. 14 | [3. El cortejo] El señor Corregidor, yendo de paseo con su esposa y su séquito, pasa por el molino y se enamora de la Molinera. Disimula, sin embargo, el buen parecer pero, pasado algún tiempo, vuelve al molino.

10 | Nana de Sevilla Este galapaguito no tiene mare, a, a, a, a, no tiene mare, sí, no tiene mare, no, lo parió una gitana, lo echó a la calle.

15 | [4. El fandango : Danza de la Molinera] 16 | [5. El Corregidor] La Molinera finge escuchar con agrado sus galanteos,

4

17 | [6. Las uvas] pero se burla de él en complicidad con su amado y corcovado esposo. El señor Corregidor se percata de la burla, y sale del lance corrido y jurando vengarse. Acompáñale su fiel alguacil que ha de ser su auxiliar en la sabrosa venganza que medita.

24 | [6. El asalto] Hay una cómica lucha: El implorando amor, ella defendiéndose como brava heroína. Al cabo, el frío rinde al galanteador que cae al suelo presa de un ataque nervioso y ella huye despavorida, dando gritos para pedir ayuda.

18 | [7. Fandango y Final] El Molinero y la Molinera, que no sospechan el peligro, se alegran de la burla que han hecho al despechado y aristócrata pretendiente, y celebran el caso con música y baile.

25 | [7. El alguacil] El alguacil acude a auxiliar a su amo, le levanta del suelo, le desnuda y le acuesta en la cama de la Molinera. Pone a secar las ropas de su amo y sale a su vez en busca de auxilio. 26 | [7. El Molinero] Entretanto el Molinero se ha escapado de los que le prendieron y, acosado por terribles y fundadas sospechas, vuelve a su casa. Ve la puerta abierta, ve puestas a secar ante su propia lumbre las ropas del señor Corregidor y tiene por cierta su desgracia: Atisba por entre las cerradas cortinas de la alcoba y alcanza a ver sobre la almohada de su cama la cabeza del maltrecho galán. ¡No cabe duda! Su deshonra es un hecho. ¡Quiere vengarse!

Cuadro 2° 19 | [1. La cena. Seguidillas] Es de noche, en el interior del molino. Noche andaluza y cálida propicia a todas las andanzas del amor: El Molinero y la Molinera cenan feliz y sosegadamante y se disponen a acostarse… 20 | [2. La espera galante] El Molinero hace un exaltado elogio de la cama y los placeres que en ella le aguardan.

27 | [8. También la Corregidora es guapa] Piensa un instante y se le ocurre una idea diabólica: Allí están las ropas de su rival que, por dicha, es corcovado como él, es de noche… Si a favor de un disfraz y de las sombras nocturnas pudiese entrar en el palacio del corregimiento y pasar por el señor Corregidor, llegando hasta el sagrado de la alcoba de la señora Corregidora… ¡Pensado y hecho! A toda prisa se viste las ropas de su rival y sale, decidido a todo, escribiendo antes en la pared con un carbón este cartel de desafío: ¡Señor Corregidor, corro a vengarme! ¡También la Corregidora es guapa!

21 | [3. Los alguaciles] Pero no ha contado con la huéspeda: La huéspeda es la astucia del señor Corregidor, que, deseando tener libre el camino, manda a sus alguaciles a prender al Molinero. El Molinero no sabe por qué le prenden y se deja llevar desesperado y sospechando algo de lo que ocurre. 22 | [4. La copia del cuco] La Molinera se queda sola y triste. Medita, suspira. Una copla lejana suena en el silencio del campo. “Por la noche canta el cuco advirtiendo a los casados que corran bien los cerrojos que el diablo está desvelado. por la noche canta el cuco: ¡Cucú, cucú, cucú! Casadita, casadita, cierra con tranca la puerta, que aunque el diablo está dormido a lo mejor se despierta. Casadita, canta el cuco: ¡Cucú, cucú, cucú!” La Molinera, melancólicamente, se dispone a acostarse, y cierra la ventana.

28 | [9. El Corregidor] Cuando él desaparece, el Corregidor se levanta de la cama asustadísimo… Busca sus ropas, no las encuentra, ve las del Molinero, se aterra, lee el letrero que ha quedado escrito en la pared. Su desesperación y susto no tienen límites. Se viste a toda prisa las ropas que encuentra y sale al campo a tiempo que vuelven los alguaciles que prendieron al Molinero y que desesperados por su fuga vuelven a buscarle. 29 | [10. La pelea final] Como el Corregidor lleva puestas las ropas del preso, los alguaciles le toman por él y le sujetan dándole una gran paliza. Vuelve la Molinera y pensando que los alguaciles pelean con su marido, sale a su defensa y la emprende a bofetadas con ellos. Vuelve en ésto el primer alguacil, que fue en busca de auxilio, y queriendo defender a su amo, la emprende a pescozones con la Molinera. Todos caen al suelo y ruedan enzarzados en homérica lucha, mientras cae el telón y termina la farsa.

23 | [5. El chapuzón] El señor Corregidor, creyendo el campo libre, se acerca al molino, saboreando de antemano las dulzuras de la aventura galante que prepara. Despide a su fiel alguacil, que viene acompañándole, y se lanza al asalto de la fortaleza, pero, al atravesar el puentecillo del molino, tropieza y cae al agua del caz. A sus gritos sobresaltada la Molinera abre la puerta. El consigue salir del agua y se presenta ante ella hecho una sopa, lamentable y ridículo. Ella retrocede asombrada, y el galán arrecido entra en la casa tras ella.

¿Y el Molinero? ¿Habrá logrado dar fin a su venganza como en el romance o, como en la novela, habrá fracasado en sus dos planes? ¡Misterio! Los autores de esta farsa dejan que cada uno de los espectadores resuelva al caso en el sentido que mejor le agrade.

5

Get in touch

Social

© Copyright 2013 - 2024 MYDOKUMENT.COM - All rights reserved.